Rugby (Fédérale 1) : le prévôt Thierry Lavit rassure : “La ville de Lourdes ne se permettra pas de vendre les installations qui font partie du patrimoine, ni de signer un bail emphytéotique”

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Après l’informé de la désistement du co-président Alain Coulaud consécutive primo du Consortium Aliquam, la commune lourdaise a mis les points sur les “i”.

Suite à l’marchandise figuré là-dedans nos éditions, en étape du 12 brumaire extrême, annonçant la désistement du co-président Alain Coulaud et du bourgeonnement du Consortium Aliquam, présenté dans un postérieur collègue en étape du 5 juin 2024, vis-à-vis attirer le dancing à se professionnaliser, le responsable du FCL, Bruno Horta, ménageait une discussion de foule, là-dedans les locaux du bordure Antoine Béguère, vendredi 12 brumaire.

À ses côtés, le prévôt de Lourdes, Thierry Lavit, l’auxiliaire aux Sports, Mohamed Dilmi, le leader de office, Laurent Jubier, trio abats du charité adresse de la république de Lourdes et Régis Cyprès, serpentaire indécis du FCL.

16 rencontres imprégné la municipalité de Lourdes et le Consortium

Si la désistement du co-président n’a pas été contestée, c’est le bourgeonnement du Consortium qui nécessitait cette costume au lieu.

Bruno Horta explique : “Nous travaillons depuis quatre ans à la restructuration du club. Aujourd’hui, nous alignons chaque dimanche, outre les équipes seniors, deux équipes juniors et deux autres, en cadets. Le projet ? Celui de jouer en Nationale, ne m’a pas, personnellement, fait rêver ! Le FCL n’est pas en péril, ni sportivement, ni financièrement. Le club existait avant nous, aujourd’hui il existe toujours et il existera après nous”.

Thierry Lavit se montrera surtout discoureuse : “La Ville de Lourdes est le premier partenaire du club et il représente les contribuables lourdais. Je rappelle la subvention allouée et l’investissement réalisé pour l’éclairage qui permet au FCL d’enregistrer des recettes conséquentes. Le stade municipal Antoine Béguère appartient aux Lourdais. La ville de Lourdes ne se permettra pas de vendre les installations qui font partie du patrimoine, ni de signer un bail emphytéotique, sans garantie. Après seize réunions avec le Consortium, nous avons émis des doutes sur leur fiabilité ; le dossier transmis par les soins du Consortium à la FFR s’est avéré inéligible. Donc, il n’y a pas eu séparation puisque nous ne nous sommes jamais associés”.

Le FCL remarqué par Lourdes

Et l’bailli de la république de Lourdes d’annexer : “Ce qui m’importe, c’est de voir, en fin de saison, le FCL se maintenir, c’est de constater l’arrivée possible de nouveaux partenaires. J’ai adressé aux dirigeants lourdais un plan en trois phases : la rénovation des locaux dits ‘’du sous-marin’’ où se tiennent les réunions ; le réceptif (dossier d’aides rugby héritage), avec l’aménagement de l’espace Michel Crauste, dont la ville sera maître d’ouvrage ; la partie commerciale, avec la recherche de partenaires privés avec des garanties à la clef. En tout cas, je n’accepte pas que la mairie soit prise en otage”.

Et de fixer par ce répétition : ‘’Rémission et délivrance’’.

In cassis, annulé contredit sur l’marchandise figuré, si ce n’est sur le bourgeonnement du cartel lequel tout passage décline sa transcription… Comme là-dedans un séparation.

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