“Un testament” : les avocats de Gisèle Pelicot plaident vers une “prise de conscience” sociétale

Le combat des viols de Gisèle Pelicot sera un “testament” vers “les générations futures”. Après onze semaines d’lectorat et le queue d’une cinquantaine d’accusés précocement la préau meurtrière du Vaucluse, à Avignon, le combat des viols de Mazan est entré dans lequel sa stade conclusion, mercredi 20 brumaire, en compagnie de les plaidoiries de Me Antoine Camus et Stéphane Babonneau, les avocats des parties civiles.

Ce combat “fera partie du testament qu’on transmettra aux générations futures”, qui “découvriront Gisèle Pelicot, son courage, le prix qu’elle a payé pour changer la société”, a affirmé Me Stéphane Babonneau, dressant un analogie parmi ce “procès d’Avignon” et celui-ci d’Aix-en-Provence en 1978 où l’avocate Gisèle Halimi avait écho accorder le profanation même un infraction.

“Par ce geste presque politique de renoncer au huis clos”, le 2 septembre, à l’bouchon de ce combat sauf normalité, Gisèle Pelicot a “invité toute la société à se poser des questions, à prendre conscience, à changer les mentalités, pour un avenir qui romprait enfin avec une violence qu’on voudrait d’un autre âge”, a insisté Me Antoine Camus.

“Comment, en France, en 2024, une demoiselle peut davantage permettre ce qu’a subi Gisèle Pelicot contre au moins 10 ans ? Comment peut-on augurer en France 50, mais en réalité 70 individus (plusieurs n’ont jamais été identifiés et ne sont pas jugés, NDLR), des hommes”, vers accéder inquiéter charnellement ce aileron, a poursuivi l’intercesseur.

“Justice et vérité”

Et Me Camus, évoquant les vidéos des faits, de plagier que Gisèle Pelicot accomplissait à ce balance apathique “qu’on la croirait morte”, “au point qu’il faille rouler (son corps) sur lui-même pour le mouvoir”.

Pendant une temps, hormis fruit de piolet, il a demandé à ce que “justice et vérité” soient rendues en condamnant Dominique Pelicot, le “chef d’orchestre” de cette décennie de viols, à à eux logis domestique de Mazan, simplement autant ses 50 coaccusés qui, “tous, avaient leur libre arbitre”.

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“Chacun à son niveau a contribué à cette monstruosité et a permis que se poursuive le calvaire d’une femme”, a-t-il affirmé, “c’est la banalité du mal d’Hannah Arendt”.

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“Il serait temps d’intégrer que les violeurs ne sont pas forcément sériels, qu’on peut violer une fois dans sa vie. Il n’existe pas de profil de violeur. Il faut distinguer le prédateur sexuel, qui va chasser sa proie, et le violeur qui va choisir une opportunité”.

“L’intention de violer”

Me Camus a surtout balayé la circonstance d’une bénin pourriture du flair des accusés, en contestation à la dizaines d’avocats de la armure qui, mercredi potron-minet même, ont déposé cette interrogation mineur à la préau à propos de 33 des 50 coaccusés.

“Tous ont choisi de démissionner de la pensée pour faire prévaloir leur pulsion”, a-t-il estimé, demandant que la préau prenne des décisions “claires” et “fermes”, surtout sur la objet entourant l’intentionnalité du profanation, exposé mis en prématurément par la pour ainsi dire ampleur des coaccusés qui reconnaissent la authenticité des faits simplement pas “l’intention de violer”.

“Gisèle Pelicot aurait toutes les raisons du monde d’être aujourd’hui dans la haine, d’opposer les hommes et les femmes et de fustiger la sexualité masculine en général”, a octroyé l’intercesseur : simplement son “choix de porter sa voix par deux hommes ne procède pas d’un hasard, c’est une décision mûrement réfléchie. Gisèle Pelicot a choisi de transformer cette boue en matière noble et de dépasser la noirceur de son histoire pour s’y trouver un sens : elle compte sur la cour pour l’y aider”.

Avec AFP

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