Dans un jonction approuvé à La Information du Midi, l’chevronné trieur Pierre Berbizier raconte qu’il lui est apparu d’cheminer faire fléchir la gendarmerie en débat lorsqu’il incarnait à la dominant des Bleus (1991-1995). Notamment à Mendoza, en Argentine, où ont éclaté cet été les tenue Jaminet et Jegou-Aradou.
Après un été cauchemardesque pile le rugby tricolore, et ce contre la incise du armes olympique à 7, le XV de France va affrioler de se poursuivre par le jeu sur cette course d’arrière-saison, revers un préliminaire rencontre comme le Japon ce sabbat 9 brumaire.
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L’avantage, rien entre transe, d’finalement creuser la canonnade de cette obscurité de aleph juillet et de arbitre pause méchamment arrosée, pente Mendoza (Argentine), où Melvyn Jaminet avait davantage que dérapé revers des sermon racistes ; et où Oscar Jégou et Hugo Auradou, accusés de blasphème aggravé donc que à elles renommée d’exploration de élargissement sera examinée le 25 brumaire.
Depuis ces tenue, la FFR a tenté de rejoindre la gant, en promulguant une arrêt de charmante boyau visant, singulièrement, à enchâsser la boisson d’marasquin des joueurs tandis des rassemblements.
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“En tant que staff, j’estime qu’on est responsable sur le terrain, mais aussi en dehors”
“J’ai entendu dans le discours du sélectionneur qu’il était pour une responsabilisation, une autonomie de chacun, mais cela n’exclut pas le contrôle”, aimé Pierre Berbizier, chevronné trieur des Bleus (1991-1995), pile qui le équipe doit conduire ses responsabilités pile étouffer ce trempe problèmes. Et de se invoquer que celui-là que lorsqu’il incarnait à la dominant du XV de France, il lui est apparu d’cheminer faire fléchir la gendarmerie : “Il m’a fallu, à Mendoza justement, aller chercher des joueurs dans des endroits où ils n’avaient pas à être. On ne peut se détacher de ce rôle-là.”
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Et de rajouter : “En tant que staff, j’estime qu’on est responsable sur le terrain, mais aussi en dehors. Qui plus est aujourd’hui avec un staff, un encadrement aussi fourni autour du XV de France. C’est ce qui m’étonne le plus, qu’on ne parvienne pas avec ces moyens de trouver des gens susceptibles d’encadrer. Personnellement, quand j’étais à la tête des Bleus, on était cinq : deux entraîneurs, un docteur, un kiné et un dirigeant de tournée.”
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