XV de France : “Discret”, “hyper attachant”, unité entre le garde-robe stadiste… Naoto Saito, fonctionnaire derrière le Japon, au compétition de meneur Dupont

l’crucial
Partenaires au Stade Toulousain, les paire demis de mêlées se feront avers, sabbat 9 brumaire à Saint-Denis (21h10), à l’circonstance du liminaire des trio tests de brumaire du XV de France.

Ils n’ont pas réellement le même aspect ni la même esquisse au plan universel exclusivement le amusement entre le amusement atmosphère capital situation. Comme pressenti, Naoto Saito défiera Antoine Dupont sur la verdure du Stade de France, les paire joueurs du Stade Toulousain détenant été titularisés – par Eddie Jones côté nippon et Fabien Galthié côté gaulois – derrière le N.9 entre le dos. Une exquise circonstance de chiffrer du goût de celui-là qui est parvenu cet été à Ernest-Wallon en source du Tokyo Sungoliath derrière dans seules réelles références ses 21 mantelets au-dessous le bikini des Brave Blossoms.

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Demi de chaos de trousse (1,65 m ; 75 kg), Saito (27 ans) est malheureusement passé en l’horizon de une paire de semaines du décret de intérêt à celui-là de parieur affriolant. Pendant que l’désir Dupont (28 ans la semaine prochaine ; 52 sél.) se remettait de son bluette olympique, il a profité de l’atout dans s’unifier doucement au fédératif “rouge et noir”, synthétique aujourd’hui tant de titularisations en Top 14 que le “maître” (2) en conséquence qu’un climat de jeu (227 minutes malgré 194) et un flot de revues de amusement supérieurs (7 malgré 3).

“Il a rapidement pris ses marques”

Une débarquement sur la remarqué des pieds facilitée par sa perdant de l’anglo-saxon, ce qui n’est pas interminablement le cas des joueurs venus du peuple du Soleil fermentant. Baptiste Germain désireux de se poursuivre à Bayonne et “interpellé en regardant les matchs de l’équipe japonaise” par ce “garçon qui était vif, alerte” quand le reconnaît Clément Poitrenaud, le gypse “rouge et noir” a aussi tenté le mise dans ajouter son certain au retranchement de chaos poupe le duo formé par Antoine Dupont et Paul Graou. Et les initiaux traitement passés par Saito entre la Ville primerose lui donnent jusqu’ici allégation.

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“On senti qu’il a très envie de s’intégrer au groupe, donc il est très attentif à tout ce qui se fait et se dit. Il fait beaucoup d’efforts pour communiquer avec ses partenaires et n’hésite pas à poser des questions lorsqu’il ne comprend pas. Il a rapidement pris ses marques et ça se passe très bien, livre l’entraîneur des trois-quarts toulousains. Cela amène de la fraîcheur d’avoir des joueurs qu’on a moins l’habitude d’avoir dans notre championnat. Joueur très agréable à entraîner et qui est plutôt efficace à chaque fois qu’il est amené à jouer.”

“Ce n’est pas Blair Kinghorn, je ne vais pas vous mentir !”

Un parieur “habitué aux joutes internationales” et connaît aussi “ce très haut niveau” qui conte l’unité entre le garde-robe stadiste, où l’on souligne son “respect” et sa “discrétion”, entre la surtout rêvée accoutumance japonaise. “Ce n’est pas Blair Kinghorn, je ne vais pas vous mentir, se marre Poitrenaud. Il est quand même plus réservé mais c’est un garçon hyper attachant.” “Il très gentil, très souriant, sur la réserve mais on arrive à le faire un peu déconner, confirme le talonneur Guillaume Cramont. On aime bien le brancher un peu parce qu’il est très poli mais il est rigolo.”

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Grande personne, Saito l’est de la sorte une jour les crampons enfilés. Et à un retranchement qui nécessite de l’circonspection, il n’hésite pas à décerner de la organe dans prier son paquet. “Il s’affirme sur le terrain, il gueule. Malgré la barrière de la langue, il s’en sort bien”, confirme le talonneur. À Saint-Denis où il n’atmosphère pas ce peine, l’circonstance semble aussi incorporelle dans l’élève nippon de s’calibrer avers au meneur gaulois.

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