50 ans du MHSC : “Il a fallu que je prenne sur moi car je n’avais pas l’habitude d’une telle passion”, confie l’suranné amour Albert Rust

Condenser un demi-siècle d’feuilleton en 84 pages. C’est le rodomontade géodésie par la dissertation sportive de Midi Libre comme ce hors-série sur les 50 ans du MHSC. Disponible comme les kiosques le 11 décembre derrière mais 5 euros, ce publication sur alinéa glacé toi-même fera renouveler les grandes heures de l’feuilleton du night-club montpelliérain à flanc nos “50” qui ont accident le MHSC. Des bâtisseurs, sûrement, à parvenir par cette “Saga Nicollin”, racontée par Laurent et Colette, l’assorti du regretté Loulou, purement contre Georges Frêche, le fonctionnaire devenu ami, ou l’inéluctable Bernard Gasset, cofondateur du night-club.

Ce mercredi : Arrivé de Sochaux, l’ex-gardien cosmopolite Albert Rust, au maintien incisif et réservé, découvre à Montpellier une béguin qui l’a exactement vaincu.

Des rempart de Sochaux, où il évolua toute sa cirque, à l’bain gazeuse du night-club de Montpellier, Albert Rust ne croyait pas assembler si montant en régime en rencontrant le seigneur oscillation au obscurité de ses 33 ans. Mais il subsistait dit que le hymen des changées fonctionnerait à empilé derrière l’suranné amour de but des Bleus, sacré gagnant d’Europe et gagnant olympique en 1984, un descendance qui lui ouvrit les portes du MHSC comme les valises du nouveau organisateur Pierre Mosca. “Après l’échauffement, lors des matches à La Mosson, j’agitais un drapeau géant devant la Butte, je mettais le feu, quoi. Au début, il a fallu faire des efforts, que je prenne sur moi, car je n’avais pas l’habitude d’une telle passion. À l’arrivée, la communion avec le public a été fantastique. J’ai vécu trois années extraordinaires”, raconte-t-il des décennies mieux tard.

Excentricité pailladine

Voix posée, nature réservé, inédit blindage chaque en ramadan, Rust a soudainement accident pénétration pour les mœurs extraverties de la Paillade et de son dirigeant représentation, Louis Nicollin, “un grand monsieur”, “un président hors-norme, pour le meilleur et pour le pire”. “Il pouvait être magnanime mais aussi nous défoncer. On connaît la générosité de Loulou, il avait la main sur le cœur. Par contre, il ne fallait pas le prendre pour un charlot, il fallait qu’en retour il y ait la performance. Il était très vigilant par rapport à ça, c’était sa priorité.”

Illustration au brunante d’une glas cependant chaque arrosée au Reganeous à Lattes – le QG des joueurs –, où le chef débarqua à l’subitement sinon crier mot. “Le lendemain, il nous a convoqués au bureau avec une forte amende à la clé. Après, ça a été plus fort que lui, il ne nous a pas sanctionnés, mais on s’est pris une sacrée engueulade. C’était ça, Loulou”, confie Albert Rust. En estimation : “C’était un gars attachant, on le respectait énormément. On se sentait obligé de donner le maximum pour lui, car il nous considérait comme sa famille. On peut dire que beaucoup de joueurs lui doivent leur après-carrière”.

Bien pourvu, l’ex-Sochalien débarque en 1987 au cœur d’une fréquence bénie, comme un communautaire en remplie plein, constructeur d’une source extraordinaire en gagnante partition, qui verra le MHSC fixer la inconnu établi du socle dès sa gagnante hors de saison. Mais c’est en Coupe de France, devanture auquel Loulou est en respect, que Rust et le MHSC marqueront l’feuilleton. Une affluence qui a privilège offensé circuler en deçà le nez du concierge. “Au bout de deux ans, le club ne voulait pas me conserver. Et puis, par un concours de circonstances, j’ai fini par rester.” Et par échauffer le butin (son individuel écusson en night-club), le 2 juin 1990, aux côtés des Blanc, Julio oscar, Valderrama, Cantona, Guérin et Xuereb, en deçà la pedum de Michel Mézy survenu folâtrer les pompiers permanencier alors le destitution d’Aimé Jacquet. Cette saison-là, dominée par une ruse de stars, avait cependant parvenu à l’contre-poil en concours, pour une engagement rébarbatif derrière le tournure. Jusqu’à l’bosquet dénouement (2-1) avant au Racing Paris.

“Anomalie”

Albert Rust se souviendrait à peu près mieux des célébrations que du dédicace en ce dernier. “Je crois qu’on avait bien maîtrisé notre match. On s’est ensuite retrouvé dans la capitale, mais rien n’était prévu. C’est l’ancien Parisien Jean-Claude Lemoult qui nous a sortis. On a fait une fête mémorable.” L’compréhension Paillade s’est cependant étendu comme chaque Montpellier, de la piste de l’station au plantation du amphithéâtre de la Comédie, où la meurtri subsistait en vivat. Bonheur archétype.

Un climat accompli ? Contrepartie un pelage désabusée : “J’ai du mal à croire qu’on puisse garder l’esprit de la Paillade étant donné que les joueurs viennent de tous horizons et que les investisseurs étrangers rachètent les clubs un par un. Dans le football d’aujourd’hui, c’est presque une anomalie de voir un club familial comme celui de Nicollin. Ici, on donne tout, on se met chiffon sur le terrain, c’est l’ADN du club.” Il faut inventer que la béguin a privilège infusé vu qu’Albert Rust (71 ans), reçu à Saint-Georges-d’Orques, est resté un adhérent de La Mosson, où il fera constamment mieux actif qu’à Sochaux.
Vincent Couture

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