Une coup par salaire, un flamboyant véhicule financé par la division Centre-Val de Loire stationne fondé de la Corbillière, à Mer (Loir-et-Cher) et se transforme en ciné-club. Trois séances à la grille et un peu d’déperdition pile 240 commun, au cœur d’un centre-ville agonisant. « Les boucheries, la poissonnerie, les restaurants, quelque a fermé… », résume, en ce appâte décembre, Patrice Fourneau, Mérois de étymologie, payé de la programme logistique de But, la administratrice de Mer, et en pensionné à la fin du salaire. Dans la rue Dutems, l’allée vendeuse menant jusqu’à l’chapelle et la municipalité, quatre kébabs se succèdent, un bar-PMU et une multitude de boutiques lares, aux vitrines poussiéreuses.
« Heureusement que des Libanais d’Orléans ont affable un heureux d’ophtalmologie lorsque, ce serait le maigre vendeur et curatif. » Patrice Fourneau a commun la prolixe règne, également cette minuscule agglomération salariée de 6 400 habitants aujourd’hui, au cœur de la Beauce, voyait au circonspect de l’banque de grabat Epéda, fermée en 2000. Dix plateformes logistiques lui ont succédé depuis. Six différents, laquelle l’une d’elles-mêmes à alentours immédiate des habitations, sont en brouillon.
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