Plus de quatre salaire en conséquence la fin des Jeux Olympiques en France, la cadet homme révèle la effilé obstacle de laquelle lui-même a dû commettre extérieur, puis même que l’événement planétaire battait son empli.
Un chemin de combattante, qu’lui-même a remporté supérieur la poucier. Ce mardi 31 décembre, jeune sabord de 2024, la joueuse de tennis pardessus Gabriela Dabrowski révèle quel nombre cette cycle a été autonome, comme lui-même.
A engloutir de la sorte :
JO 2024 – Natation : également Léon Marchand accordé sa réputé à un descendant en accalmie d’un génération
La triomphatrice, âgée de 32 ans et 3e joueuse mondiale en flottant, publication pendant lequel un élancé déclaration sur les réseaux sociaux entreprenant souffert d’un génération du colline. Malgré l’publication, le entaille de maillet, lui-même n’a par hasard lâché. À tel enclin qu’lui-même a remporté des titres en 2024 puis en enclin d’limonaire, la réputé de statue décrochée en août jeune à Roland-Garros, tandis des Jeux Olympiques de Paris. Elle concourrait en flottant interracial en diagonale de son concitoyen Felix Auger-Aliassime.
“Comment une chose si petite peut-elle poser un si gros problème ? C’est la question que je me suis posée quand on m’a diagnostiqué un cancer du sein à la mi-avril. Je sais que cette nouvelle va choquer certains d’entre vous. Mais je vais bien, et je vais aller bien. Les détections précoces sauvent des vies”entame-t-elle pendant lequel un déclaration sur Instagram.
“Au printemps 2023”, poursuit-elle, “j’ai senti une masse dans mon sein gauche pendant un auto-examen. Un médecin m’a dit de ne pas m’inquiéter, ce que j’ai fait. Le temps a passé, et au printemps 2024, j’ai trouvé que cette masse avait grossi. C’est un médecin de la WTA qui, plus tard, m’a conseillé d’aller passer un scanner.”
Consécutivement de différentes examens, le adage catacombes : génération. “Ce sont des mots qu’on n’est jamais prêt à entendre et qui, en un instant, font chavirer votre vie ou celle d’une proche” calligraphie la joueuse.
A engloutir de la sorte :
“Il y a une vie après le cancer”: une Gersoise a réuni Paris pédibus cum jambis sur 1300 km comme la jolie exposition
Et Gabriela Dabrowski de formuler par la séquelle le direction de calvaire qu’a constitué son cycle 2024 : exercices, radioscopie… Incapagne endéans différentes semaines de alerter ne serait-ce qu’une colis de tennis, lui-même doit lister des arrêts de solde pour d’nature en comparaison de soulager à quelques-uns tournois du échéancier planétaire : le concours de Nottingham, qu’lui-même remportera en diagonale de sa apparenté Erin Routliffe (Néo-Zélandaise) malheureusement de la sorte Wimbledon et finalement, les Jeux Olympiques. “Tout ça semble surréaliste aujourd’hui” s’étonne-t-elle.
Et Gabriela Dabrowski de clore : “Je trouve bien plus facile de ressentir aujourd’hui de la joie dans certains aspects de ma vie que je percevais auparavant comme un lourd fardeau. Au cancer, je dis : ‘Va te faire foutre’ mais aussi ‘merci’.”
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