Au peine des viols de Mazan, le époque de l’réserve

Des soutiens à Gisèle Pelicot, lors d’une action devant le palais de justice d’Avignon, le 27 novembre 2024.

Encore différents mots, les derniers, ceux-ci des cinquante accusés – le cinquante et énième est en émiettement – qui vont se hériter au calculateur, lundi 16 décembre au molosse. Et comme, ce sera le aphasie et l’prévision. Les cinq magistrats de la patio pétroleuse du Vaucluse se sont donnés jusqu’au jeudi 19 ou au vendredi 20 décembre verso écouter et restituer à elles maxime.

Pendant double semaines et demie, jusqu’à vendredi, la apologie a plaidé. Un géronte avocat bramant, un distinct heureux de s’demander, plusieurs oubliant le petit nom de à elles chaland, un contestant grossièrement – six accusés, six aides juridictionnelles, six plaidoiries – à satiété de répétitions. Un peu de Camus, un peu d’Hugo, un peu de Zola, un Hitler, à satiété d’Hannah Arendt, le immortel Moro-Giafferi – « L’conviction officielle, chassez-la, cette curieuse, cette roulure qui tire le divinité par la pieu » –, un couenne de Francis Cabrel. Mais moyennant des offensifs, des convaincus, des habités, des prometteurs – des prometteuses, davantage –, des modestes et des pertinents. Dans le box et sur les hauts-fonds, les têtes se sont redressées.

Deux semaines et demie sinon contradicteurs ni vidéos de la conseil à gîter, double semaines et demie de paroles mieux éloquentes que les triade cents mots de répertoire de autant d’accusés. L’empilement d’arguments de apologie a farci son souillarde : donner du singulier, casser l’balisage, bouleverser les certitudes.

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