Notre historien relate les coulisses de cette jour illustre à l’Assemblée nationale suivie, mercredi, par des médias du monde parfait.
Drôle d’soulane comme un Insoumis. Drôle de décence en conséquence. En présentement de proposition de condamnation, ce abordable de Jean-Luc Mélenchon certains a donné rancard au Solferino, une restaurant du Boulevard Saint-Germain qui rencontrait le secteur de affrontement des socialistes pendant le pouf du disparu à la brillant se présentait plus à Paris.
Le messager certains accueille très approprié arraché de parmi le coiffeur, flanelle parti et combinaison livide impeccables. Il arbore même une poche à sa battle-dress. “C’est un jour historique”, justifie-t-il, ajoutant : “C’est le premier gouvernement qui tombe depuis 1962 et c’est grâce à une motion de censure LFI… “
L’personnalité s’apprête à jouir sa jour, exclusivement il voit alors écarté : “Ce que je me dis à cet instant, c’est : Barnier, c’est fait, maintenant… next !”
Un jeune entorse des Insoumis
À maints pas de là, à l’Assemblée Nationale, Jean-Luc Mélenchon vient d’accéder comme servir aux débats. La nombre des journalistes est solide déjà. Un préconiser macroniste fume une unième prise au étoile.
“C’est plié“, assure-t-il blasé, exclusivement il ajoute, coquin : “Les Insoumis vont tenter un dernier coup”. LFI a en suite déposé une proposition de turion du Projet de loi de fin de économat.
Motion qui sera simplement pestiférée, exclusivement qui va bien comme fruit de “repousser le résultat du vote de la motion de censure au-delà de 20 h 30 pour ne pas laisser Marine Le Pen parader au JT de 20 heures”, soupçonne à nous fin stratège.
Dans l’représentation les élus du “bloc central” tentent plus de former branler le référendum en énumérant la facture des bienfaits lesquels les Français seront privés si le nation est censuré. Ils défilent au ordinateur.
Leur opinion est le alors habituellement vêtue par le bruit brigadier.
“On trouve ça très inquiétant”
À 15 h 30, la hall des quatre colonnes est désormais occupée. Il devient pratiquement inexécutable s’y débrider un chemin. “Ici, c’est la foire à la saucisse”, pilum une historien ondes excédée.
Les reporters étrangers sont grouillant. “On se pose beaucoup de questions sur ce qui se passe en France”, explique une agente japonaise à BFM.
Un peu alors écarté un historien anglais certains explique : “En Angleterre, on s’intéresse beaucoup à ce qui se passe en France, d’autant que cet épisode implique trois personnages bien connus chez nous : Macron, Le Pen et Barnier (qui a négocié le Brexit NDLR). Habituellement, une crise qui se déroule de l’autre côté de la Manche, ça nous amuse, mais là, avec la guerre en Ukraine et l’élection de Trump, on trouve ça très inquiétant”.
Lescure ou Lecornu
Mais les députés, eux, songent déjà consécutivement : “A Matignon, ce sera Sébastien Lecornu ou Roland Lescure”, pilum formidablement sûr de lui un messager macroniste à un additionné de journalistes.
“Nous, nous attendons de voir, mais un profil comme Barnier nous irait”, certains confie le messager RN Laurent Jacobelli. Et Boris Vallaud, convaincu une paire de interviews télé, de pouffer : “Ça ne sera vraisemblablement pas une personnalité de gauche, mais on ferait une erreur de ne pas le demander”. Demain commence aujourd’hui.
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