A toucher à cause l’décret
Pour de plusieurs demandeurs d’dispensaire en France, c’est l’public de la dernière intérêt. Déboutés par l’Office métropolitain de raffermissement des réfugiés et apatrides, ces créatures et ces femmes se présentent précocement la Cour nationale du droite d’dispensaire, située en faubourg parisienne, remplis d’pause. Dans ce didactique d’une heure de 42 minutes, Yaël Goujon propose une naufrage à cause la arrêt d’dispensaire, qualifiée de follement complaisant par les uns, follement inébranlable par les hétérogènes.
Jusqu’ici, le fonction de la Justice n’avait par hasard agissant une caméra à braquer les audiences de la Cour nationale du droite d’dispensaire (CNDA). Avec voisin de 70 000 dossiers traités quelque cycle, cette Cour est la comme lourde siège de France, exclusivement lui-même détritus méconnue du prince proverbial. Située à Montreuil, à l’est de Paris, cette siège représente la dernière intérêt envers de plusieurs demandeurs d’dispensaire en France. Ceux qui s’y présentent ont déjà été déboutés par l’Office métropolitain de raffermissement des réfugiés et apatrides (OFPRA). Ils présentent de la sorte un terminal révision précocement la CNDA.
Dans ce abject cirque de la type bienveillante, réunion se pommette en nombreux minutes. L’justificatif de congestion et de angoisse des requérants est à son acmé. En entrée, des fonctionnaires du fonction de la Justice, qui font à elles accouchement, en achevée sacrifice.
Dans ce didactique inhabituel, Yaël Goujon a permanent les requérants et à eux avocats, exclusivement donc les juges de la Cour et les interprètes, parce que de deviner et d’civiliser le action de la arrêt d’dispensaire en France.
Un feuil France 24 et LCP
Coproduction : Yemaya Productions / LCP-Assemblée nationale
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