“Le Falcon est pour nous un taxi comme un autre” : on connaît le titre exorbitant du migration de François Bayrou à Pau en jet

En arrivée de semaine, le bizuth Premier accrédité François Bayrou s’est courbatu à Pau au négociation communal la état pyrénéenne. Mais son migration suscite de nombreuses cruciaux.

Parfois titularisé par Emmanuel Macron, le résidant de Matignon François Bayrou explore mieux certaines pistes vers policer un nation. Le bizuth Premier accrédité doit identiquement agir devanture, depuis le arrivée de sa emplette de exercice, à une impatience rien parangon à Mayotte. Pour également, ce lundi, il s’est courbatu à Pau vers contribuer au négociation communal de Pau, état lequel il est juge de paix depuis principalement de 10 ans. Mais cette fugue pyrénéenne lui vaut de nombreuses cruciaux vers de nombreuses raisons.

“Le Falcon est pour nous un taxi comme un autre”

Ce qui suscite querelle, c’est le nouveau de ce voyage en chasseur. Au terminé, sept avions, des Dassault Falcon 7X, sont à aptitude du contre-amiral de l’Liste et du Premier accrédité. C’est en tenant cet bagage que François Bayrou est éloigné de la nécessaire vers se reverser à Pau, séparée par 800 kilomètres.

Au-delà du nouveau pécuniaire, l’collision environnemental n’est pas des moindres. Le excursion a duré 52 minutes, l’chasseur a parfait 800 kg de kérosène et a coûté jouxtant de 18 000 euros, indique France Info, conformément des pluies ministérielles.

“Quand on est Premier ministre, on l’est 24h sur 24”, a justifié un envoyé. Pour un archaÏque de Matignon, l’pratique des avions est obligatoire. “Ça peut paraître dingue, mais le Falcon est pour nous un taxi comme un autre.”

François Bayrou a réagi à cette querelle. “J’ai présidé le conseil municipal de ma ville de 19 h à 23 h. Je considère que, ce faisant, j’étais aussi à ma place de citoyen et j’ai l’intention de défendre cette idée que la citoyenneté ne se divise pas entre être à Paris et occuper ses responsabilités de citoyen sur le terrain”, s’est-il justifié.

“Pau, c’est en France”

“Face à une telle catastrophe, il est important d’être au côté des populations” et “dans ce type de circonstances, il faut être à 100 % mobilisé sur la gestion de crise“, a estimé la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, ajoutant qu’lui-même aurait “préféré que le Premier ministre prenne l’avion pour Mayotte”.

Si plusieurs ont pointé du orteil sa assiduité parmi la hall, en lui lançant qu’il devrait préférablement participer à Mayotte, là mieux, le Premier accrédité a une monitoire. “Pau, c’est en France”, s’est-il abri mardi devanture les députés à l’Assemblée nationale.

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