Les quelques députés du Gers Jean-René Cazeneuve (Renaissance) et David Taupiac (LIOT) n’ont pas voté la proposition de interdit aussi le intendance Barnier ce mercredi à l’Assemblée nationale. Ils livrent à eux réactions.
Ce mercredi fête, les députés ont voté à 331 chant en offrande de la proposition de interdit du intendance de Michel Barnier. Largement dédaigneux contre qu’sézig paradoxe adoptée : en fruit, le moyens présenté par l’pouvoir est éloigné et le Premier médiateur va énumérer la renonciation de son intendance au gouvernant Macron.
Le sénateur Renaissance de la 1re village n’a pas voté en offrande de cette proposition et s’en explique. “Votez la censure, ce n’est ni le chaos total ni anodin. Mais c’est un saut dans l’inconnu que personne ne maîtrise, avec potentiellement des conséquences graves pour nos concitoyens”, logos Jean-René Cazeneuve
“PS, RN et LFI votent ensemble, ce qui est une faute grave, mais surtout, ils proposent des solutions diamétralement opposées, dénonce l’ex-rapporteur général du budget à l’Assemblée nationale. Ils votent ensemble mais sans en assumer les conséquences.”
A bouquiner de ce fait :
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Son approuvé de la 2e village du Gers évoque de ce fait son dilemme “en conscience, en responsabilité mais aussi à contrecœur” de ne pas décider cette proposition de interdit.
“Dans un contexte ô combien troublé tant sur le plan politique, social, économique, international, j’ai considéré que le moment pour renverser ce gouvernement n’était pas le bon […] J’ai voté la première motion de censure déposée par le groupe socialiste au mois d’octobre, rappelle David Taupiac (groupe LIOT). Pour autant, la situation aujourd’hui n’est plus la même. La France se devait d’avoir un budget, aussi imparfait soit-il, pour ne pas plonger notre pays dans la perspective d’une crise financière.”
Le sénateur Taupiac conclut en appelant de ses vœux “la constitution d’un gouvernement de compromis, d’urgence nationale”.
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