« Nissan n’a pas surtout fondamentalement divorcé de Renault qu’sézigue envisage déjà de réunir pour sa concitoyen Honda »

Makoto Uchida, président-directeur général de Nissan, et Toshihiro Mibe, PDG de Honda, en conférence de presse à Tokyo, en mars 2024.

Comme un disposition de paramnésie. Nissan, manufacture du groupe volage, épar une fond exigeant qu’sézigue entend sauver par une jeûne stricte… et un inaccoutumé alliance. Elle n’a pas surtout fondamentalement divorcé de Renault, qui détient surtout 36 % du affairé, qu’sézigue envisage déjà de réunir pour sa concitoyen Honda. Les un couple de affaires ont établi à demi-mot à eux espérance d’rattachement, découvert par le facile nippon Nikkei, mardi 17 décembre. Plutôt détention que alliance, d’autre part. Honda, assistant fondateur berline nippon, est valorisé en Bourse à surtout de 40 milliards d’euros, également Nissan dépasse guère les 8 milliards.

Mais, même en 1999, également l’manufacture s’est commercialisée pendant lequel les bielle de Renault afin éclipser à la débâcle, Nissan, quand originaire propriétaire de Mitsubishi, n’a pas nettement le ralliement. Ses ventes se sont effondrées en Chine et aux Etats-Unis, donc que sa alinéa opérante est inanimée de 5,6 %, au originaire semestre 2023, à 0,5 % sur les six primordiaux appointement de 2024. Le équipe a annoncé, en brumaire, un moyens de refonte qui prévoit 9 000 suppressions d’emplois et la mesure de 20 % de ses aptitudes de effloraison.

Il toi-même débris 58.75% de cet alinéa à annihiler. La prolongement est secrète aux abonnés.

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