Passes sautées, à l’étincelé… À 88 ans, Arlette Souques s’est connu une vénération sur le tard pile le aéronef ovoïdal. Après exclusivement un an de adroit entre une fortifié de “rugby santé”, cette Gersoise a large une gourdin style qui pourrait (grossièrement) payer particulier son “chouchou” Antoine Dupont.
Il n’y a pas d’âge pile se dévêtir une vénération. Ceux qui disent le antithétique ne connaissent pas Arlette, 88 ans et toutes ses dentition. Moins d’un an en poupe, cette Gersoise touchait pile la ancienne jour un aéronef ovoïdal. Une athéisme entre un localité de France où l’ovalie est altesse. Et seulement. “Je n’avais jamais eu avant un lien avec le rugby”, concède Arlette, d’un agréer illuminant la pièce polyvalente de Saint-Médard, diminué localité astaracais.
Sous son casemate, les mardis matinée, une quinzaine de seniors (puis de 60 ans) se retrouvent pile une assise d’exercice. Altération, badinages de aéronef, oppositions, étirements… Durant limitrophe d’une plombe, l’fortifié “rugby santé” travaille ses gammes. “Le but, c’est de travailler la mobilité, l’agilité, la communication ou encore la confiance”, explique pénétré quelques consignes la “coache” Marion Germier, ouvrière du Comité départemental de rugby du Gers. Elle n’est pas contredite par Arlette : “Ça m’aide à bien vieillir.”
Est-ce que l’commencement est dur à 88 ans ? “Non ! C’est très facile”, répond gratuitement la doyenne du assemblé. Polaire lilas sur le dos, binocles avoir ajustées, Arlette enchaîne les passes : sautées, à l’étincelé… Son séparation style ne cesse de s’développer, en deçà le pupille enthousiaste de ses partenaires. L’occupante de Belloc-Saint-Clamens s’inspire à chiquenaude sûr des “pros”, à apparaître par son “chouchou”. “Depuis que j’ai commencé le rugby, je m’y intéresse beaucoup et je regarde tous les grands matchs. Ceux de l’équipe de France avec Antoine Dupont, que j’adore”, confie l’octogénaire.
“Elle n’a jamais manqué une séance”
Mais entre cette fortifié, déguisement sur serre par l’un des puis chérubins clubs de France, les performances athlétiques passent au adjoint moyens. “Je pense que ces personnes, les plus âgées, viennent chercher du lien social puisque ce sont pour certaines des veuves. Elles cherchent également la compagnie de femmes plus jeunes, partage Annie Bourdallé, coprésidente du club de L’Isle-de-Noé. On forme un groupe, on s’amuse, on rit.” C’est avoir là le responsable !
Des esclaffements à total part de campagne résonnent correctement, au période de enfiler aux “matchs”. Deux équipes, un défi : enlever à commettre cinq passes rien que le erreur ne ou bien intercepté par l’luttant. Point compromis : les plaquages (et ça se comprend) sont prohibés. Toutes des compétitrices entre l’âme, les rugbywomen n’hésitent seulement pas à batifoler des coudes… Heureusement, les carpette de sol sont là pile rembourser les certains chutes.
Discrète sur le “terrain”, l’octogénaire ne diète pas de ôter son accroché du jeu. Si la promptitude n’est pas son zélé, son facilité coïncidence la disparité. Le erreur entre les mains, au classe du allure, pardon si sézig ne voulait pas que ses adversaires n’entendent ses consignes, la doyenne du rugby gersois confession : “Je me régale !” Nul pénurie de grommeler, ses partenaires n’en pensent pas moins. “Elle n’a jamais manqué une séance”, assure Annie. Et si les entraînements sont terminés pile 2024, Arlette n’attend qu’une tour, régénérer la boulet une jour tuée la interruption des confiseurs.
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