“La République, c’est lui !” : pile Cambadélis, Michaël Delafosse est le “premier secrétaire idéal” pile le Parti socialiste

Le figure extrêmement apologique du substitut de Montpellier au-dessous la expression de l’préhistorique meneur du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, n’est pas passé invisible. Sa signe sur un blog, dimanche 19 janvier, n’a pas évadé à l’intéressé sézig qui l’a partagé sur son bordereau X. “Merci cher Jean-Christophe pour ce portrait au plaisir de te voir bientôt à #Montpellier 😉 Amitiés”, a-t-il justifié.

“La République c’est lui !”, livre l’préhistorique messager socialiste en début. “Il y a du Aristide Briand chez Michaël Delafosse qui est le plus républicain de la nouvelle vague au PS”. Il  insiste longtemps sur sa allure de contrarier la laïcité : “Il défend avec passion l’espace libre du citoyen et veut empêcher l’emprise de toute confession sur la société, c’est-à-dire l’imposition d’une religion civile par la politique”. Michaël Delafosse, qui a acquis en 2023 le Prix de la Laïcité, ne perd pas il est établi une avantage pile concevoir ce porté.

Michaël ne parlait que de Montpellier

Il approché en conséquence sa voisinage à sa agrégation de attendrissement “Montpellier, avec qui il fait corps (…)  “Monté” à Paris, car il a intégré le Bureau national de l’UNEF, il vit dans une colocation et l’un d’entre eux raconte : “Nous parlions jusque tard parmi la obscurité de la politicien nationale, et à tout coup, Michaël ne parlait que de Montpellier, ce qui les gens barbait.” Et cette passion, Montpellier la lui rendra bien.”

Il pousse l’flatterie  de “l’anti-Faure” qui a refusé l’mariage au robert de la Nupes “avec son binôme occitan, Carole Delga, présidente de la région, la Nupes et la subordination à Mélenchon.” Une nervure qu’il assume hormis procéder la dominant de l’contre-pied à Olivier Faure, souligne Cambadélis. 

“Michael, c’est “Montpellier d’extérieur”, dit-on dans la ville. Au point, d’ailleurs, d’être obsessionnel dans le respect de ses engagements, au point d’installer dans son bureau une horloge lui rappelant le nombre de jours qu’il lui reste dans son mandat pour honorer ses engagements.”

Delafosse, “le premier secrétaire idéal”

Pour consommer, il commerce de ses voeux le “réveil de Delafosse” qu’il voit; avec d’disparates, avec “le premier secrétaire idéal”. “La gratuité des transports, la sécurité contre les trafiquants de drogue, la question cruciale du logement, les inégalités de destins, le bouclier social pour les parents isolés, la destruction de tours verrues architecturales et criminogènes, le soutien à la culture, au sport, mais aussi aux devoirs scolaires disputant le terrain aux communautés religieuses et donc, bien sûr, la laïcité : ce bilan, qui est en lui-même un projet, est en un mot la République éco-sociale que les Français plébiscitent.”

Il en est un vice versa qui n’a négatif métré ce même prose. C’est Philippe Saurel, toléré de “frécho-macroniste un peu lunaire”. Il en aventure acte parmi une lettrine exubérante à l’ex précurseur rédacteur du PS. “Frécho” pile définir ma durabilité à Georges Frêche que toi-même avez recalé avec moi du PS, je suis d’concorde vraiment courageux ! “Macroniste, vous me l’apprenez (…) quant à un peu lunaire, je prends cette expression comme un compliment car je crois beaucoup au ciel à l’espace…”