La Ville de Nîmes veut des mesures de solidité facette au narcobanditisme, ce “commerce mortifère”

À la requête du Garde des Sceaux, Richard Schieven, supplémentaire au proconsul messager à la Calme évidente, a matérialisé Jean-Paul Fournier à Paris, tandis d’un heure d’échanges assuré Vendôme, au administration de la Justice, sur les thématiques du narcobanditisme.

Le mot des maires

“Le trafic de drogue est un phénomène mondial, qui touche toute la République, rappelle la municipalité dans un communiqué. Nîmes, comme toute la France, est fortement impactée par les conséquences de ce commerce illicite, notamment dans ses quartiers les plus populaires. Alors que la Sénat étudie en ce moment une proposition de loi sur les sujets, des maires de France ont été conviés par le ministre de la Justice pour s’exprimer sur le volet judiciaire du problème.”

Jean-Paul Fournier, via son supplémentaire, a conséquemment conscient plier(se) clarifier des “propositions concrètes de fermeté dans ce domaine”, estimant que “ce banditisme a des conséquences lourdes en matière de sécurité, avec de terribles faits d’homicides. Le fruit de ce commerce mortifère a un lien étroit avec le repli de certains quartiers, des dérives communautaires et islamistes, sans oublier des ramifications clairement définies avec le terrorisme”, bousculade la Ville de Nîmes.

Plusieurs idées défendues

Richard Schieven a conséquemment posé hétérogènes idées plus la “lutte agressive contre les consommateurs de drogue avec un relèvement de l’amende forfaitaire des usagers à hauteur de 1 500 euros, voire plus” ; “l’action contre les épiceries de nuit qui peuvent être des relais de la vente de stupéfiants” ou mieux la “réforme de l’ordonnance de 1945 concernant les mineurs liés au trafic et la sanction des parents de mineurs trafiquants”.