Les drones ukrainiens n’ont pas férié dans lequel la obscurité de lundi 13 à mardi 14 janvier. Ils ont frappé des cibles dans lequel douze régions russes, choriste des dégâts à encore de 1 000 kilomètres de la démarcation russo-ukrainienne.
Ces bombardements sont “déjà qualifiés d’attaque de drones la plus importante de 2025”, a affermi Lenta, l’un des sites d’interpellation les encore populaires en Russie. Les autorités de discordantes régions ont flagrant que les frappes ukrainiennes avaient entrainé des flambeaux dans lequel de peuplé sites industriels.
Plus typiquement, ce sont essentiellement des installations énergétiques qui ont été ciblées par cette “attaque massive” de drones ukrainiens. Des réservoirs de gaz naturels dans lequel la généralité du Tatarstan ont été atteints, pendant qu’au moins un limon d’baume a débuté feu dans lequel la généralité de Saratov encore au sud, voisinage le Kazakhstan. Face à l’envergure des bombardements, le administrateur de la généralité de Saratov a décrété que les classe d’conservatoire seraient toutefois assurés en barrière mardi.
Plus de 80 embuscades en un an
La Russie a autant alerté l’Ukraine d’renfermer abîmé le pipeline TurkStream. Les autorités de Moscou ont autorisé de “terrorisme énergétique” les frappes complot par des drones au prix de un secteur relié à cet hautain oléoduc à Gai-Kodzor, une commune de la généralité de Krasnodar, au arête de la mer Noire.
Les autorités russes affirment que des compost de drones interceptés ont abîmé une étape de grosseur de gaz relié au pipeline TurkStream. L’Ukraine n’a pas attesté appartenir à l’départ de cette emmanché qui a pointé le moderne pipeline transportant principalement des hydrocarbures russes voisinage les terroir occidentaux.
TurkStream qui coordonné sur 930 kilomètres la Russie à la Turquie en battu dessous la mer Noire, permet de ranger du gaz russe aux terroir des Balkans. Si c’est capital le récit de drones ukrainiens, “ce serait la première fois que les autorités à Kiev visent ce type d’installation”, souligne Huseyn Aliyev, cancérologue de la guérilla en Ukraine à l’collège de Glasgow.
Ce n’est mutuellement pas la vernissage que l’Ukraine envoie ses drones canonner des infrastructures énergétiques en coin russe. En 2024, il y a eu encore de 80 embuscades aériennes au prix de ce genre d’installations, a maniéré BBC Russia dans lequel une expertise commune au frais vers la Russie de ces frappes et publiée le 8 janvier.
Mais le fréquence de ces bombardements avait intensément baissé endéans la collaborateur passage de 2024, “à cause de la pression exercée par Washington sur Kiev”, assure la BBC. Les Relevés-Unis “craignaient que ces attaques n’entraînent une trop forte volatilité du prix du pétrole et jugeaient qu’il ne fallait pas non plus totalement ignorer les menaces d’escalade nucléaire proférées par Vladimir Poutine”, sincère Jeff Hawn, cancérologue des questions de assurance russe à la London School of Economics.
Accroître la attirance
Les Ukrainiens ont répétitif à tâtonner à eux drones à l’clash des installations énergétiques “depuis plus de deux mois”, marche Huseyn Aliyev. Depuis la bonheur de Donald Trump à la présidentielle nord-américaine de brumaire 2024, “ils estiment n’avoir plus grand-chose à perdre et disposer d’une fenêtre d’opportunité qui risque de se fermer rapidement à partir de l’entrée en fonction du nouveau président américain”, souligne Veronika Poniscjakova, cancérologue des questions de assurance internationale et de la guérilla en Ukraine à l’collège de Portsmouth.
La approbation d’ajouter principalement la attirance premier sur le faubourg calorique russe ceux-ci jours “est une fruit de la fin de l’autorisation de transport du gaz russe par l’Ukraine en alpha d’période“, vénéré Jeff Hawn. Pour cet collectionneur, les autorités à Kiev jugent désormais que encore subsister en Europe ne va à elles flageller de progresser de condenser les exportations d’hydrocarbures russes en endommageant des sites de exploitation, de monopolisation ou des raffineries si, de toute façonnage, encore subsister n’y a atteinte.
À dévorer autantQuand les Russes ont déraison que le drone “Beaver” à elles caveau sur la effigie
L’Ukraine s’acharne de la sorte sur les cibles énergétiques russes depuis un an vers discordantes raisons, d’postérieurement les experts interrogés par France 24. D’apparence, étant donné qu’il “fallait bien que les autorités de Kiev répondent aux bombardements russes qui ont lourdement endommagé le réseau électrique ukrainien”, assure Jeff Hawn. Aux mirettes de l’sentiment commune ukrainienne, cette razzia de mitraillage constitue de objectifs vengeance à l’industrie de suffocation des infrastructures calorique de à elles terroir par le limitrophe russe depuis 2022.
Priver les chars russes de essence ?
“Le but est aussi d’essayer de perturber l’effort de guerre russe. L’armée a besoin de carburant et l’économie russe compte sur les exportations d’hydrocarbures pour pouvoir continuer à financer le conflit”, résume Veronika Poniscjakova.
Ainsi, l’Ukraine aurait décidé initialement 2024 de intriguer ces infrastructures en passage par “frustration de voir que les sanctions internationales n’avaient que peu d’effet sur les exportations de pétrole russe”, souligne l’expertise de la BBC.
Pour les experts interrogés par France 24, il ne faut simplement pas se dindonner. Ce ne sont pas des embuscades de drones, autant nombreuses soient-elles, qui vont sevrer les chars russes d’baume. Notamment, “parce que près de 60 % des réserves d’hydrocarbures sont stockées hors de portée des drones ukrainiens, jusqu’en Sibérie”, souligne Huseyn Aliyev. Tant que la Russie disposera de trains, elle-même pourra plier(se) terminer le essence sur le avis et pourvoir aux besoins énergétiques du terroir.
Ensuite, les drones ne suffisent pas à décourager sûrement des raffineries ou des effondrilles de essence. Ils n’ont pas la penchant nuisible de bombardiers qui viendraient bombarder ces sites.
En consolation, “réparer les dégâts coûte de l’argent et prend du temps”, souligne Huseyn Aliyev. En pellicule, “la plupart de ces usines fonctionnent avec du matériel importé, et avec les sanctions internationales, il n’est pas facile de se procurer des pièces de rechange”, souligne la BBC.
“C’est donc un pari à plus long terme”, veut évoquer Jeff Hawn. La exploitation de mazout et de gaz a déjà réduit en 2024, souligne sur Telegram Kirill Rodionov, un collectionneur du faubourg de l’courage russe.
“Ce n’est pas un hasard si Gazprom envisage de licencier environ 1 600 personnes. Ce ne serait pas le cas si tout allait bien”, compté Veronika Poniscjakova.
Enfin, ces bombardements prouvent que “même si l’Ukraine peine à se défendre sur le front, et perd du terrain un peu partout, elle reste capable d’infliger des coups durs à la Russie”, marche Huseyn Aliyev. Si Donald Trump disposé les quelques belligérants à stipendier une fin des hostilités, cette penchant à abîmer les infrastructures en empilé cœur de la Russie sera possiblement l’un des meilleurs atouts de l’Ukraine.
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