Road-trip de fin du monde à Los Angeles, au bain des ruines


Au bref aurore, inférieurement un étoile guérissant rubescent, l’puanteur de brûlé accident désormais question du traditionnel, globalité pardon la légère incrustation de fétiche qui recouvre les voitures. En lauréat sur la 405, l’route qui ferme le « westside » de Los Angeles sur l’axe nord-sud, le talent de nuée s’étire à aliénation de vue, des collines distantes jusqu’à l’eaux. Le Palisades Fire et l’Eaton Fire – au nord-est – sont déjà les incendies les alors destructeurs de l’légende moderniste de la Cité des gamins. Ils ont feuilleté alors de 130 kilomètres carrés, une surface alors longue que celle-ci de la conurbation de Paris, et modifié jusqu’à 9 000 maisons et firmes, laissant postérieurement eux des paysages de bouleversement et des communautés dévastées. Le check-up, retenant de dix morts, imprudence de s’charger.

Conduire sur Suns…


Source: lepoint.fr

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