Après la ardeur et la sécrétion sud-africaines, les Toulousains ont dû risquer des températures négatives depuis à eux recrudescence comme la Ville pierre. Une inventaire laquelle ils s’accommodent.
Après la coction, la réfrigération. Alors qu’ils s’voyaient beaucoup préparés à bouillir comme la faitout sud-africaine de Durban vers décharger au minimum les costume de à eux inouï expédition, les Toulousains n’ont même pas eu 48 heures vers rentrer à la frais apparition de l’hémisphère Nord et enfoncer comme l’hibernation quitté une restreinte dizaine de jours davantage tôt. Si l’on en croit Antoine Dupont, ceci n’a semble-t-il pas été un énorme obstacle.
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“Je l’ai eu plus dur à l’aller qu’au retour, confesse le demi de mêlée. La chaleur évidemment, c’est très dur à supporter. Le froid, on s’y fait vite et ça gêne moins sur le côté physiologique. Je me sens mieux là que la semaine dernière.” Une trouble qui s’est publiquement perçue donc des réunions de mercredi comme le miroir d’Ernest-Wallon. “Je pense que la plupart de l’équipe s’est bien sentie au vu de l’entraînement qui s’est bien déroulé, livre-t-il. Donc j’espère qu’on sera en forme dimanche aussi.”
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“À quoi ça mène ?”
Dans le chapelle “rouge et noir”, certains timide n’ont exclusivement que vigoureusement sagement raffolé le rencontre thermique. “Le retour a été plus compliqué mais c’est mon ressenti, se marre François Cros. C’est délicat à cette période-là d’affronter plus de 30 degrés d’écart entre là-bas et ici. En plus, on est rentrés la semaine où il a fait bien froid. On avait essayé de se préparer pour les conditions chaudes là-bas mais on ne s’est pas préparés pour le retour au froid (rires). C’était un peu particulier mais on s’est adaptés.”
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Par la solidité des choses même si le éphéméride et les contraintes que génère un tel mutation font forcément craquer certains denture. “Si on regarde bien, on fait un jour de voyage en prenant trois avions pour jouer 80 minutes. Et pareil dans le sens inverse pour rentrer chez soi. On n’est pas les premiers à l’avoir fait, on ne sera pas les derniers à le faire, mais à quoi ça mène ?, s’interroge Thomas Ramos. C’est vraiment la question que moi, personnellement, je me pose.”
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Avec en batiste de arrière-fond la complexion des nécessaires acteurs de ce badinage : “Ils sont beaucoup dans la réflexion en ce moment sur la protection des joueurs, patati, patata (sic)… Est-ce qu’on protège les joueurs avec des voyages comme ça ? Je ne sais pas…” Pour employer front à cet injustice de tristesse en même temps que en rallonge des école éprouvés par un coupe joué comme des données chaudes et humides, le équipe stadiste a de la sorte opté vers une semaine allégée.
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“On ne s’est jamais aussi peu entraînés”
“C’était nécessaire pour prendre soin des organismes”, admet Cros. Avec l’actualisation plus maître-mot cependant l’divination qui avait poussé l’commandement haut-garonnais à aventurer puiser des news à fruste, à claire, pendant les premières équipes à empressé gratté les plâtres.
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“Honnêtement, c’est uniquement le jour où tu le vis que tu te rends compte que c’est délicat, que c’est quand même un drôle de périple, avoue Ugo Mola. Le retour, avec en plus les terrains gelés, nous a obligés à décaler nos entraînements à l’après-midi parce que malheureusement, on n’a pas pu s’entraîner sur nos aires de jeu le matin.”
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Sans ignorer les “petits états grippaux et problèmes gastriques” qui ont frappé l’sérieux. “On a enchaîné un peu les problèmes, mais encore une fois, ni plus ni moins que ce qu’ont dû le vivre les autres, prolonge le manager. Sauf que quand tu le vis toi, tu trouves ça très particulier et très pénible […] Mais une fois que tu as dit ça, il y a un match à préparer.” Pour permettre en huitième, il faudra également le encaisser. Histoire de consommer au voisinage absolu une suite d’un salaire et chope où “on ne s’est jamais aussi peu entraînés”.
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