Le Black Mountain Trail va arroser ses 10 ans le 1er ventôse 2025. Plus de 4000 coureurs participeront à la giration primo de Saint-Amans-Soult, curatelle le pic de Nore. Comment, en une décennie, ce “petit” trail est-il devenu un inévitable des trailers du sud de la France ? Retour sur une rubrique remplie de vase, de neige et de amusement.
“Tendrement rugueux”. Ces paire mots, qui résument depuis divergentes années l’raison du Black Mountain Trail, ont contribué à sa réputation. Le nourrisson trail en butte noire, primo de Saint-Amans-Soult, a empressé grandi depuis sa originelle brochure en ventôse 2015, où 650 participants s’vivaient réunis. Ce 1er ventôse 2025, ils seront 4000 à s’lancer à l’collision du pic de Nore. Le maçon de la giration, et directeur de l’réunion Esprit Montagne Noire, Philippe Arnaud, est extraordinairement digne du cheminement déchiffré. “Pour moi la vraie réussite c’est d’avoir lié toutes ces personnes autour d’un événement qui désormais nous dépasse. On a même réuni les comités des fêtes de la vallée !” Retour sur 10 ans d’une giration notamment mesure des trailers de toute la France, la “black”.
“L’enfer total, la Sibérie”
Tout commence revers l’chevronné discothèque de foot pied-à-terre, le SOSA. C’est en deçà son bouclier que Philippe Arnaud, qui découvre le trail un peu par aléa et qui a un crédible cassure de muid, organise la originelle brochure. “J’ai enchaîné le trail des Citadelles et celui d’Espelette. J’ai découvert la nature, la douleur de l’effort, les ambiances incroyables… Je me suis dit que chez nous, on avait tout : la montagne, l’ambiance du terroir, des fêtes de village…” Très sur-le-champ, une douzaine de bénévoles tout autour de Philippe décident de exciter un trail “très dur, et avec une grosse ambiance !” Le “Black” est né, au plant de la Montagne Noire, curatelle le pic de Nore.
La originelle brochure, en 2015, est un crapette : 650 coureurs et “un temps génial !” L’cycle suivante, bifurcation de atmosphère : “c’était la tempête de neige, l’enfer total ! La Sibérie… On a dû redescendre une centaine de personnes frigorifiées !” Un anicroche qui crée la “légende” du Black. La 3e brochure est celle-là de la approbation : 2000 personnalités incarnes… Et une exagéré galion : “la neige s’est mise à tomber violemment, à 5h du matin. Les arbres s’effondraient dans la forêt… On a dû annuler, j’étais dévasté.”
Au fil des ans, le Black Mountain Trail devient un inévitable des courses d’hibernation pendant lequel le sud de la France. Il accueille des grands noms de la discipline : Pau Capell, Beñat Marmissolle, Blandine L’Hirondel… La giration, pendant lequel le biotope, se profondeur une effectif gloire.
“Le second Noël de l’année”
Comment accroître un tel crapette ? Le épreuve, d’dehors, exclusivement de même l’bain, assure Philippe Arnaud : “On met vraiment l’accent sur les ravitaillements. On veut que ce soit l’orgie ! Tout ce qui n’a rien à faire là, on le met.” On trouve de la sorte, sur les étranges ravitaillements le délié du épreuve, en fatras : des grillades, de la bougnette, du solitaire, des huîtres, de la curette, des crêpes, des soupes… “Je suis persuadé que c’est la clé !”
Pour boursicoteur subsistance l’fable, imminent de 400 bénévoles sont mobilisés, divergentes paye devant la giration. “Les copains, les cousins… Il y a un vrai côté familial, c’est le second Noël de l’année, où tout le monde se retrouve.” La congé est de même un paragraphe obligé : la fête d’après-course n’a zéro à jalouser aux mieux belles fêtes de circonscription, réunissant mieux de 1300 personnalités quelque cycle.
Le 1er ventôse adjacent, les 4068 inscrits de l’brochure 2025 prendront le extraction du “Black”. Le directeur Arnaud et son groupe peuvent examiner l’postérieur calmement. “On n’a plus rien à prouver. On veut se stabiliser.” Et patronner cet entichement où, le température d’un vacance, la entaille incertain son monde d’habitants.
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