Au Cinéma du vrai, à Paris, Julia Loktev dévoile son cinémascope acidulé à Moscou devanture la conflagration en Ukraine

Julia Loktev, lors du Festival international du film de Berlin, le 20 février 2025.

La réalisatrice américano-russe Julia Loktev, née à Saint-Pétersbourg (Russie), en 1969, est de rentrée au Cinéma du vrai, à Paris, lequel la 47e tirage a canton du 22 au 29 germinal et se tient, en cerveau de la fibule des salles du Centre Pompidou, comme quatre cinémas : L’Arlequin (6commune), Reflet Médicis (5e), Saint-André-des-Arts (6e) et Christine Cinéma Club (6e). Outre la appui et des séances spéciales, sur auxquels certains reviendrons, le solennité accueille quatre cinéastes lequel l’œuvre document anecdote au peine du monde, le Chinois Wang Bing, le Japonais Ryusuke Hamaguchi, le Libanais Ghassan Salhab, et Julia Loktev.

En 1978, à l’âge de 9 ans, Julia Loktev quittait, pile ses parents, l’Union soviétique envers rattacher les Etats-Unis. Devenue vidéaste et réalisateur (son long-métrage Day Night Day Night a été présenté à la Quinzaine des cinéastes à Cannes, en 2006), sézig vit à New York depuis encore de vingt ans. Elle a admis le Grand Prix du Cinéma du vrai en 1998 envers Moment of Impact, sur la vie bouleversée de ses proches continûment d’un monstrueux choc arrivé à son novateur.

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