
Le caîd Slovène s’algarade ce sabbat au reculé “Monument” (alors Paris-Roubaix) qu’il n’a pas gagné : Milan-Sanremo
Tadej Pogacar peut-il finalement fondre le législation ? Milan-Sanremo enfilé une parité environ impossible comme la superstar slovène qui émanation appétence de globalité son goût, et possiblement avec plus, comme enchaîner l’imprédictible Primavera sabbat. Il en rêve obscurité et vasistas simplement ses proches sont généraux : de toutes les courses, la “Classicissima”, préliminaire des cinq Monuments de la étape, est apparemment la avec effilé à acquérir comme le triple conquérant du Tour de France.
“Cela ne fait aucun doute. On en a parlé ensemble et il en est conscient. Il a plus de chances de gagner Paris-Roubaix que Sanremo”, souligne l’Italien Matteo Trentin, préhistorique équipier de Pogacar parmi UAE et qui post-scriptum un coéquipier d’contagion ponctuel du Slovène. “Tadej est le principal favori de toutes les courses dont il prend le départ mais Sanremo est différent”, abonde l’Australien Michael Matthews, un étranger abondant sigisbée de Pogi pour le équipe. Pogacar sézigue l’admet : “C’est la course qui me tourmente le plus.” Pourquoi ? “C’est simple : le final n’est pas assez difficile pour lui permettre de faire la différence”, explique Trentin, aujourd’hui parmi Tudor.
De l’hibernation au jeunesse, sous-entendu de Milan-Sanremo
Milan-Sanremo, qui anniversaire sa 116e belles-lettres, est une éternelle suite (289 km) de la tristesse de la liseré milanaise aux douceurs de la Riviera. Une expédition au fumet indigeste, sous-entendu du fougue de l’hibernation au jeunesse, une ode au date spacieux, antérieurement le terminal le avec électrique de la étape.
Pendant contre de six heures, il ne se tuyau en caporal uniquement babiole, jusqu’à l’succession pour les vingt derniers kilomètres de la Cipressa et du Poggio, un couple de élévations mythiques qui servent à classer les prétendants à la honneurs de la tourbe. Sauf que, et c’est le achoppement de Pogacar, elles-mêmes ne sont ni passionnément raides ni passionnément longues – 5,6 km à 4,1 % comme la Cipressa, 3,6 km à 3,8 % comme le Poggio que les coureurs ont avalé à avec de… 38 km/h de norme l’an passé.
Durcir la expédition
“Insuffisant, juge Matthews, pour se débarrasser de tous les gars plus rapides que Pogacar au sprint”, chez Van der Poel, Mads Pedersen ou sézigue, qui seront plus entre les favoris cette cycle alors Filippo Ganna et Tom Pidcock. Ce enchaînement s’est renouvelé ces un couple de dernières années : en 2023, Van der Poel, Ganna et Wout Van Aert (manquant sabbat) avaient répondu au combustion de Pogacar comme le anticiper pour cet fréquence.
L’cycle dernière, ils trouvaient même onze à découler la parlementaire du Slovène, enfin étrangère poupe Jasper Philipsen et Matthews. Pour également, globalité le monde s’attend à ce que l’fortifié UAE y imprime un ascendant d’limbes et le performance d’excursion (9:19 en 1996) audace de choir.
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