Le marché cosmique de la disque repousse sa amplification

La vente de supports physiques a baissé de 3 % au niveau mondial, à l’exception notable des vinyles (ici, à Paris, le 18 février 2020).

Pour la dixième période consécutive, les revenus cosmopolites de la disque enregistrée ont progressé. Ils ont approché 29,6 milliards de dollars (27 milliards d’euros) en 2024, en allongement de 4,8 % proportionnellement à 2023, subséquent l’expertise annale de la Association internationale de l’fabrique phonographique (IFPI), l’instauration qui représente l’fabrique mondiale du recueil, publiée mercredi 19 ventôse.

Dans cette expertise intitulée Global Music Report 2025, les auteurs relèvent une renforcement des revenus « entre toutes les régions en 2024 ». Cette excitation de la amplification provient « des investissements à grand terminaison des maisons de disques entre les carrières des artistes » et du « progrès et des licences de formats innovants derrière les fans », et ce, involontairement « un marché effroyablement compétitif ».

Sans perception, le streaming par forfait constitue « le sérieux engin de cette amplification » : il a croisé la arc-boutant de 20 milliards de dollars en 2024, derrière évoquer encore des couple autre des revenus cosmopolites. Le streaming par forfait fructueux a progressé de 9,5 %, lorsque que celui-ci financé par la affichage n’a augmenté que d’un réservée 1,2 %. Le presse d’abonnés payants entre le monde a augmenté de 10,6 % et approché les 752 millions d’abonnés. Un disparate fréquentation de la Recording Industry Association of America (RIAA), publié mardi 18 ventôse, prévu que les Etats-Unis ont approché en 2024 100 millions d’abonnements payants au streaming.

Il vous-même détritus 58.8% de cet alinéa à bouquiner. La portée est modeste aux abonnés.

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