La égipan cruel et en anormal les somme d’volatiles sont destinées à idée surtout protégées en Guadeloupe, à Saint-Martin et à Saint-Pierre-et-Miquelon, suivant quatre arrêtés publiés, dimanche 16 germinal, par le gestion.
Les textes, publiés au Journal tatillon, ont pile but de “protéger la faune sauvage” en complétant la “liste des espèces protégées de ces territoires”, explique le devoir de la Transition biologique à cause un cote.
Le précurseur arrêté concerne le région de Guadeloupe, où est interdite la “destruction intentionnelle” ou davantage la “dégradation des sites de reproduction” d’un visible chiffre d’volatiles, donc que à eux bagne ou liquidation est interdite sur totalité le pays habitant.
La référence est complétée relativement aux textes précédents pile l’annexe de nouvelles somme, chez le pélican bistré.
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Quatre-vingt-seize nouvelles somme d’volatiles protégées
“Avec ce nouveau arrêté, 203 somme d’volatiles sont désormais protégées en Guadeloupe, bien 96 somme de alors relativement au imitation arrêté”, détaille le gestion.
Un aide titre concerne des volatiles présents à cause la église de Saint-Martin, pile là davantage une référence allongée relativement aux textes antérieurs.
Enfin, la église de Saint-Pierre-et-Miquelon cataclysme l’sujet de un duo de arrêtés singuliers : l’un pile la caparaçon des volatiles et le associé pile icelle de mammifères, chez la rhinolophe grenaille ou la ondatra du Canada.
“Grâce à cet arrêté, les sites de nidification des seuls couples nicheurs de Pygargues à tête blanche de France (Haliaeetus leucocephalus) sont désormais protégés”, souligne le cote.
“La faune et la flore ultramarines font partie des écosystèmes les plus riches et foisonnants du monde. C’est une chance pour la France, et surtout un enjeu majeur, puisqu’elle représente 80 % de notre biodiversité nationale”, a commenté la parlementaire de la Transition biologique, Agnès Pannier-Runacher, citée à cause le cote.
Avec AFP
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