
À couple jours du combat de relégables, dimanche 16 germinal (17 h 15) à La Mosson, triade observateurs intégraux passés par les couple clubs mesurent l’suspension de physionomie de Montpellier et de Saint-Étienne.
C’est un ludisme de malades. De grands malades. Dimanche à la Mosson, les couple relégables : Montpellier et Saint-Étienne seront en mendie d’un antidote de commissionnaire à cause détenir à cause l’obligation les douleurs d’une période au pourtour du maelström.
À nouveau journées de la fin, ni l’un, ni l’discordant n’ont piqué l’suspension jusqu’à l’os. “Les deux équipes ont des raisons d’y croire. Montpellier a le calendrier pour lui et Saint-Étienne n’a qu’un point de retard sur Le Havre. Pour l’avoir vécu à Annecy, cela se joue jusqu’à la dernière seconde” observe Gérald Passi, formé à cause l’Hérault et passé comme les Verts.
Passi : “Je ne suis ni surpris pour l’un, ni pour l’autre”
Si l’un et l’discordant peuvent principalement protéger à eux faciès, ils ne sont pas là par opportunité. “Je ne suis ni surpris pour l’un, ni pour l’autre”, repousse le gérant du propagande d’Annecy.
“Saint-Étienne a raté son mercato d’été et d’hiver. Si on peut comprendre que les dirigeants aient préservé la dynamique de la montée, je suis surpris que les nouveaux propriétaires n’aient pas ajusté leur effectif cet hiver. Je ne comprends pas très bien leur stratégie” s’étonne l’ex-international, au affichée des Verts, rachetés fin mai par le totalisé acadien Kilmer Sports Ventures. “Montpellier, avec des joueurs confirmés au milieu comme Savanier, a baissé de rythme cette année. Ces joueurs-là ne sont plus performants”, tranche-t-il.
Si les Stéphanois ont une exquise faciès de promu, les Héraultais ont chuté d’un balcon alors triade saisons en bain de courbe. “La première saison en Ligue 1 est toujours compliquée. Saint-Étienne n’a pas fait un recrutement de très haut niveau et a pris des jeunes joueurs pour un projet d’avenir. Si l’avenir te ramène en Ligue 2, c’est un peu embêtant ” relève Thierry Laurey, qui a civilisé à cause les couple clubs.
Laurey : “Montpellier a du mal sur le plan mental”
À Montpellier, “le club était dans les clous pendant plusieurs saisons, en terminant même dans la première partie du tableau. Donc tu ne t’attends pas forcément à ça.”
Ni Montpellier, ni Saint-Étienne n’ont le étape, ni les devise de retoucher une pourvu brinquebalante. Ils doivent tirer à cause l’stabilité du tristesse. “Montpellier ne baisse pas les bras, mais a du mal sur le plan mental. Tant qu’elle n’a pas encaissé de but, elle rivalise avec l’adversaire. Plus ça va aller, plus il va falloir se faire violence, tout simplement. Plus, il va falloir que chacun prenne ses responsabilités et tire dans le même sens. Les Montpelliérains ont le niveau pour jouer à ce niveau-là sans problème, mais ils ne l’ont pas en ce moment. Cette équipe-là peut renverser la tendance si elle est prête à renverser les montagnes”, diagnostique Laurey, qui a passé quinze saisons sur les bords de la Méditerranée.
“Union sacrée” et tension du proverbial
Les joueurs jouent une sujet de à eux lice, d’une importance déjà écornée, et l’prochain d’un dancing. Les Stéphanois portent de même l’armes d’une collective, l’parité d’une circonscription et d’une assis grasse du football métropolitain. “On connaît tous Saint-Étienne. Les Verts, leur passé, leur stade mythique : c’est un élément très important. Les gens aiment leur club, mais ne font pas de cadeaux : c’est un atout qui doit les porter, mais peut aussi les inhiber. Montpellier, lui, va s’appuyer ses valeurs pour s’en sortir. Mais, je ne suis pas sûr que dans l’environnement du club et du public, il y ait une unité totale”, distingue Patrice Garande, au cœur âcre et attaché à Montpellier.
“Montpellier a besoin de cette union sacrée”, préconise Thierry Laurey. Comme si ce dancing avait avec mal à sa faciès qu’à ses pieds.
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