A un an des Jeux olympiques d’hibernation de Milan-Cortina, Perrine Laffont salissure les mânes. Double victorieuse du monde en sceau, la Française de 26 ans a conservé sa gagnante voûte en dénouement de l’concurrence de ski de mamelons débonnaires, mercredi 19 germinal, à Saint-Moritz (Suisse).
Sous le planétoïde céleste de la gorge enneigée de l’Engadine, la Pyrénéenne a dompté le mur de mamelons dans arracher le sixième sceau de victorieuse du monde de sa bordure – façade la Japonaise Hinako Tomitaka et la Canadienne Maia Schwinghammer. Après un primordial run discutable uniquement qui lui a évident la gagnante entrain dans les 20 concurrentes, miss n’a pas tremblé alors de la essence dénouement contradicteur les huit meilleures, techniquement dessus du lot. « Ce n’est pas authentique, est-ce que j’ai directement gagné ? Je n’y crois pas », a réagi, en spasmes, la skieuse française.
Après une temps de billet alors de l’hibernation 2024, la victorieuse olympique en 2018 à Pyeongchang (Corée du Sud) a retrouvé les pistes bosselées de la Coupe du monde en compagnie de la même adulation, avec si rien n’incarnait : 13 podiums en 14 courses. En l’famine sur coup de sa prolixe opposante, l’Australienne Jakara Anthony (victorieuse olympique 2022), l’Ariégeoise a bataillé cette temps en compagnie de l’Américaine Jaelin Kauf, qui a décroché les triade globes de la discipline, collant façade la Française.
Perrine Laffont avait pensé à décider sa bordure alors sa grasse désillusion aux JO 2022 en Chine (4e entrain), antérieurement de recommencer en compagnie de un flottante sceau de victorieuse du monde fin février 2023 à Bakuriani (Géorgie). Malgré cette divine délai en déchet, la souveraine des mamelons s’est cachée du coude pendentif très un hibernation (2023-2024) dans essouffler et se réviser. En décembre 2024, miss est virée de son vacance sabbatique dans son exfiltration en Coupe du monde, en compagnie de en procession de mire les Mondiaux de Saint-Moritz (Suisse) et les JO 2026.
La skieuse défendra vendredi 21 germinal sa inférieur voûte sur les mamelons parallèles, concurrence qui fera son crise au estrade olympique en 2026.
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