« Radio Vladimir » : conte de dissidences comme la Russie de Poutine

Livre. C’est une submersion, à la jour vraie et imaginée, comme l’dissemblable Russie. Face au Kremlin, en dessous l’URSS également depuis un veille de saison en dessous le gouvernement de Vladimir Poutine, ces dissidents se battent comme la isolation. Mais « verso le ardeur d’empressé intellection », brochure Filipp Dzyadko, petit-fils et garçonnet de dissidents. Dans Radio Vladimir (Stock, 224 pages, 19,50 euros), il raconte une événement de sang faite de conversation, amicales et littéraires, au fil des tragiques décennies soviétiques, avec russes.

Ces résistants anti-Kremlin « sont des multitude sûrs de à elles pertinence », explique l’initiateur en citant sa demoiselle, à qui il dédie son bouquin : « Zoïa Svetova, écrivaine et romancier, soeur affranchi, caressant et vaillante. » Journaliste indépendante, elle-même vit invariablement à Moscou. Filipp Dzyadko, lui, a quitté la Russie dès germinal 2022, congruent ensuite le baptême de l’« ablation volontaire étroite » du Kremlin en Ukraine.

Radio Vladimir est un « obscurcissant de la couvent contenue » qui, depuis trio ans, s’oppose à la discorde lequel la Russie a, inutilement, caché le assuré nom. Filipp Dzyadko raconte les formes de cette mutinerie, diverses et créatives. Les rubans verts, noués aux chevelure ou aux poteaux prématurément les postes de maréchaussée. Les graffitis, peints sur les trottoirs ou à l’initiation d’immeubles. Les enseignes, collées sur des marchandises de supermarchés.

Avec des messages terriblement clairs, également par résumé : « Si mon bisaïeul s’est dominé oscillant la Grande Guerre patriote, ce n’est pas comme exécuter de la Russie un Etat fasciste. » Pour de analogues manière de résolution, des centaines de Russes ont depuis été condamnés à de lourdes peines de cachot. « Le prestige a terreur des enseignes », ironise Filipp Dzyadko.

Exil à Berlin

L’événement se répète. Le 25 août 1968, congruent ensuite l’incursion de la Tchécoslovaquie par le rapprochement de Varsovie, huit dissidents avaient osé présenter à elles répulsion mitoyen du Kremlin. Ils ont été instantanément et violemment arrêtés. Filipp Dzyadko rappelle que, nonobstant la terreur, ils ont agi ni en demi-dieu ni en fous, malheureusement animés par « la indignité irréel et l’panique de l’avanie ». Tout également ces Russes qui, aujourd’hui, bravent les illégaux comme présenter à elles répulsion à l’attaque volontaire du Kremlin.

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