À Limours, pendant l’Essonne, à une dense demi-heure de Paris, le regroupé Thalès, laquelle l’Bilan métropolitain détient 26 % des besognes, établissement ses radars militaires, un position pendant lesquelles il est l’un des leaders cosmopolites.
“Celui-ci, c’est le Ground Master 400, un radar de surveillance aérienne capable de détecter tous les objets en vol (avions, missiles, drones) qui peuvent se situer dans une bulle de 500 km de rayon. Celui-ci, c’est un Ground Fire, un radar de défense aérienne associé aux systèmes d’armes qui utilisent des missiles Aster pour former le SAMP/T”, actuelle en compagnie de politesse Éric Marceau, le dirigeant ruse des radars de aire de la corporation, qui emploie 83 000 monde pendant 68 peuplade et se distinction pendant le top 20 des fabricants d’figure pendant le monde.
Le SAMP/T, c’est le “système sol-air moyenne portée/terrestre”, une chaudronnerie de glorification antimissile du holding communautaire MBDA, ennemie du Patriot commercialisé par la école étasunienne Raytheon.
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Un peu mieux éloigné, pendant cette contrée où les radars sont testés pendentif un à double appointement précocement d’existence récupérés par les clients (les commandements des armées qui ont passé achat), le dirigeant de Thalès narration un Ground Master 200, un détecteur ruse extrêmement ambulant, doué de dévoiler des objets volants jusqu’à 250 km et clair assimilé pile existence éployé sur un occasion de conflagration : mis en travail en quinze minutes, il peut renier un arène d’clitoridectomie en moins de dix minutes. De mieux, il pèse moins de dix muids, peut existence relégué pendant un jerrycan de 20 pieds – maladroitement six mètres – sur de grandes distances, ou sur un train lorsque il est en clitoridectomie.
Depuis 2022, singulières modèles de radars Thalès ont été livrés à l’Ukraine, où ils sont opérationnels. Pour corrompre ces joyaux de technologie, la détail se état en dizaines de millions d’euros, l’banque ne communicatif pas ses grade de liquidation.
Triplement de la abus depuis 2022
En triade ans, Thalès a triplé ses maîtrises de abus. “Cette année, on a multiplié par trois la cadence. Le cycle de fabrication d’un radar, qui était de 60 jours il y a deux ans, est passé à 20 jours”, explique Éric Marceau.
Dans le remise d’accolement, le propre récupère les contraires chapes fabriquées par une ostracisme de PME, en majorité françaises. Pour précipiter la abus, “nous avons optimisé chacune des étapes. Il y a eu des recrutements très importants, en particulier l’an dernier, avec 400 personnes qui ont été embauchées sur le site de Limours pour accompagner cette croissance”.
Les signaux à un remilitarisation des forces européennes formulés par Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen n’ont exceptionnellement épaté. Ce bouquet de l’entreprise de glorification française voit les commandes insérer depuis déjà singulières années et semble mieux que par hasard influence à emmagasiner de nouvelles commandes.
“Le renforcement des besoins en matière de défense des pays à travers le monde a généré, depuis un certain nombre d’années maintenant, une augmentation des budgets. Nous, notre dynamique de croissance, nous l’avons démarrée il y a deux ou trois ans. Aujourd’hui, nous sommes en pleine puissance. Bien évidemment, l’actualité du moment renforce cette tendance”, ajoute Éric Marceau.
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Avec la conflagration des drones, prendre du galant au conscrit
Thalès, colosse de l’électronique conscrit depuis mieux de 20 ans, continue aussi de surfer sur la enrichissement mondiale des dépenses militaires. Mais pile le inventif et faiseur de drones Delair, ce olibrius a modifié l’banque de fondement en mansarde.
La PME toulousaine a survenu il y a une dizaine d’années à partir des drones d’expérience à des fins civiles et industrielles, chez par appréciation le parcours des plans électriques à haute attention.
Aujourd’hui, elle-même multiplie les commandes pile des versions militaires de ses drones, capables de empêcher le assombrissement électronique et d’saccager des devoirs explosives. En germinal 2024, la Direction avant-première de l’arme (DGA) lui a passé achat de centaines de drones kamikazes, postérieurement une lauréate achat en 2023.
“Nos drones sont employés en Ukraine avec succès. Ils résistent au brouillage GPS, au brouillage radio et remplissent leurs missions. Nous recevons des messages de félicitations, les opérateurs sont très contents. Ces retours du terrain montrent que nos produits sont crédibles”, explique Bastien Mancini, l’un des fondateurs et le gestionnaire de l’banque.
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Cette décelée sur le marché conscrit a évènement prendre la PME pendant une étranger mesure. Son code d’finance a bondi de 10 millions d’euros en 2023 à 30 millions en 2024. En 18 appointement, elle-même a embauché limitrophe d’une centaine de monde. En mieux des commandes de l’armada française, la corporation liquide ses drones pendant une quinzaine de peuplade, en Europe, en Asie du Sud-Est et comme en Afrique. Delair vise désormais une exposition de premier communautaire sur le marché des drones, maintenant battu par la Chine, les Bordereaux-Unis et Israël.
“Nous nous structurons pour passer à une production de quelques milliers par an et on envisage d’aller vers environ 10 000 par an. Pour développer ce changement d’échelle, il faut un certain temps de conception de l’outillage et de l’ingénierie. Mais c’est une réflexion qui est menée dans toute l’industrie de la défense en France depuis 2022, quand le président de la République a parlé de passage à l’économie de guerre”, explique Bastien Mancini.
“La guerre en Ukraine a été un révélateur de l’intérêt des drones (…). Il y a eu aussi une prise de conscience de la nécessité d’avoir une technologie de la défense qui soit souveraine, ce qui est bienvenu, en particulier dans le domaine de la robotique aérienne”, ajoute le animateur d’banque.
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Le tissu conscrit attend les commandes
L’banque Paul Boyé Technologies, spécialisée pendant la adaptation d’uniformes et d’équipements de affermissement pile les pompiers, la maréchaussée, la gendarmerie et l’armada connaît elle-même comme une enrichissement des commandes. Elle souhaite que la nomination en dynamisme de la abus en France pendant le bien de la glorification se poursuive.
Dans son cabinet d’labeurs, le PDG détaille la armure des tenues et équipements réalisés par cette banque vétéran. “Notre savoir-faire est très large en matière de vêtements, de protection et de sécurité, d’uniformes. On fait même des gilets pare-balles, des sacs à dos, des combinaisons NBC (nucléaire, biologique, chimique, NDLR) qui arrêtent tous les agents toxiques de guerre. Ça, c’est une nouvelle tenue pour les forces spéciales. Là, des cagoules pour les équipages d’avion”, détaille le sexagénaire.
Actuellement, son regroupé honore particulièrement des contrats à l’export pourtant se tient influence à aider les commandes hexagonales. “On a des contrats qui sont prévus, et on est prêts à monter en puissance. On a proposé au ministère des Armées une organisation qui permette de doubler la capacité de production par rapport à celle d’aujourd’hui. Et là, on attend la mise en place des commandes”, acompte Paul Boyé, laquelle le regroupé emploie maladroitement 300 monde pendant la land de Toulouse et un millier à Madagascar.
Le activité à une rente de conflagration ne s’est aussi pas mieux personnifié pile le animateur d’banque, pile qui la dernière achat tuée par l’armada française remonte à un an. L’défi, disciple lui, est d’existence influence. “Aujourd’hui, ce n’est pas encore une réalité pour nous, c’est en devenir. Nous ferons ce qu’on nous demande et nous répondrons aux besoins des armées, comme nous l’avons toujours fait.”
Comment spéculer le remilitarisation ?
Les ministres de l’Magot, Éric Lombard, et des Armées, Sébastien Lecornu, réunissent jeudi à Bercy des investisseurs privés et des industriels de la glorification pendant de ameuter des financements pile ce position, au situation où l’Europe veut se remilitariser avant à la intimidation russe. Cette conflit s’immatriculé pendant une semaine dédiée au versement de la soutien fabricante et technologique de glorification (BITD) placée par le gouverne.
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Banques, assurances et amalgames d’boycott échangeront en compagnie de petites et grandes affaires sur à eux besoins en versement pendant de réagir au hâblerie de la nomination en rythmé de la abus et de l’jeunesse, et de la sorte soutenir l’identité militaire occidentale.
L’entreprise de la glorification en France état contemporain grands origines, 4 500 affaires (ETI, PME et start-up) et 220 000 emplois directs et indirects.
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