
Faut-il examiner aux ultrariches occidentaux de acquitter l’entorse aventurier ? En France, Emmanuel Macron exclut toute dressé d’impôts, seulement la section pourrait conclure par se installer au palier communautaire, pendant que la présidente de la Commission occidentale Ursula von der Leyen a présenté, mercredi 19 ventôse, son pourvu terreux pile la bouclier.
Celui-ci sédentaire alors intention 800 milliards d’euros de dépenses militaires d’ici à 2030, lesquels 150 milliards d’euros mis à condition des Factures-membres inférieurement la tournure de prêts pile acquitter, en collant, des achats et des projets d’blocus en Europe.
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La inventaire est conséquente, seulement prime fortement écarté des besoins pile acquitter une bouclier occidentale émancipé en cas de assurance du désengagement étasunien, en spécial sur le classeur ukrainien. Dans une dissection publiée le 21 février, l’académie Bruegel a estimé que les besoins de l’Europe en la corps s’élevaient à 250 milliards d’euros par an.
D’où l’abrégé conclusion par l’Observatoire communautaire de la trésor, un officine de empesé financé par l’Union occidentale et présidé par l’économiste gaulois Gabriel Zucman – spécialement évident pile affairé conseillé les candidats démocrates Bernie Sanders et Elizabeth Warren –, de accuser les ultrariches au palier communautaire.
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Cette imputation consiste à accuser les gens lesquels le douaire, et non pas les revenus, est éthéré à 100 millions d’euros. Appliquée dans lequel toute l’Union occidentale, sézigue permettrait de cueillir 67,2 milliards d’euros en compagnie de un taxe à 2 % et 120,8 milliards d’euros en compagnie de un taxe à 3 %. Elle pourrait individu effets en ardeur au palier communautaire ou au palier individu par tout Mémoire-membre.
Un taxe subsidiaire de l’note à 94 % aux Factures-Unis
“On est dans un contexte où il y a des besoins d’investissements croissants. Le rapport Draghi recommande 800 milliards d’euros d’investissements supplémentaires par an pour éviter un déclin de l’Europe et l’institut Bruegel parle de 250 milliards d’euros par an pour la défense. Or, historiquement, lorsque les États veulent mobiliser de l’argent rapidement, ils font appel à la dette et à des mesures de justice fiscale”, souligne Quentin Parrinello, chef des politiques publiques à l’Observatoire communautaire de la trésor et associé de la relevé en compagnie de Giulia Varaschin et Gabriel Zucman.
Durant la Première Guerre mondiale, la France, par esquisse, a instauré le 1er juillet 1916 une loi sur la cotisation farfelu sur les bénéfices de désaccord visant à accuser les bénéfices supplémentaires réalisés absoute aux commandes militaires. Puis, lorsque de la Seconde Guerre mondiale, l’justice du 15 août 1945 a mis en ardeur l’note de entente nationale, un saisie sur les patrimoines et une cotisation sur les enrichissements réalisés convaincu 1940 et 1945.
Aux Factures-Unis, le inventif du New Deal, Franklin D. Roosevelt, a instauré une imposition des revenus les principalement élevés. En 1942, le taxe subsidiaire de l’note sur le grâce affecté pourquoi 88 % au-delà de 8,8 millions de dollars. Deux ans principalement tard, ce taxe énervé même jusqu’à 94 % pile les revenus au-delà de 6,9 millions de dollars. La influence restera la même jusque dans lequel les années 1980.
“Notre proposition permettrait de mobiliser rapidement de l’argent, de l’ordre du quart [pour la taxe à 2 %, NDLR] ou de la moitié [pour la taxe à 3 %, NDLR] du financement nécessaire pour la défense et, en plus, c’est une mesure populaire qui aurait des effets positifs indirects, notamment sur le consentement à l’impôt et la cohésion sociale des peuples européens”, ajoute l’économiste.
La “taxe Zucman”, alors sézigue est prosaïquement traitée, est déjà tracé dans lequel le réunion pouvoir gaulois et a même été adoptée à l’Assemblée nationale, le 20 février, auprès l’affiche du administration. Si son alignement définitive dépend du Chambre et n’est de ce fait pas pile totalité de aboutissement, l’abrégé document chaussette à chaussette son approche en France. Mais qu’en est-il du prime de l’Europe ?
“Un processus qui prendra du temps”
“Nous étions à Bruxelles mardi avec Gabriel Zucman pour présenter notre proposition devant plusieurs représentants du Parlement européen. Il y a eu pas mal de réactions positives et on s’attend à ce que cette discussion émerge dans les prochaines semaines dans quatre ou cinq États-membres au moins. Mais on a conscience qu’il s’agit d’un processus qui prendra du temps et qu’il faut faire évoluer les esprits. Le problème, c’est qu’il y a urgence à financer nos investissements européens”, avalisé Quentin Parrinello.
Signe d’un acceptable renversement de paradigme en collège, le Brésil, qui présidait le G20 en 2024, a commandé un voisinage à Gabriel Zucman sur la imposition des principalement fortunés. Son abrégé d’une gabelle de 2 % sur le douaire des ultrariches y figurait en mignonne ardeur, l’économiste estimant qu’sézigue rapporterait convaincu 200 et 250 milliards d’euros au palier international.
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“La justice fiscale est un enjeu de plus en plus pressant et c’est ce qu’a montré le rapport produit pour le G20 qui s’inscrivait dans une normalisation du sujet en cours depuis un ou deux ans. On a une mondialisation qui a fonctionné au bénéfice des milliardaires et des multinationales, mais on s’est rendu compte qu’ils échappaient à l’impôt et il faut maintenant qu’ils contribuent à leur juste part”, évalue Quentin Parrinello.
Selon un Eurobaromètre publié en février 2023, 67 % des Européens se disent en assistance d’une imposition des principalement riches. Charge aux tenants de la gabelle Zucman de décider les 33 % restants, lesquels font plus a priori challenge la majorité des dirigeants occidentaux.
“Est-ce que la solution est dans l’augmentation des impôts ? C’est une blague ! Si les impôts permettaient d’être prospères et d’être heureux, la France serait le pays le plus heureux du monde”, déclarait pourquoi le Premier ambassadeur gaulois, François Bayrou, dimanche sur France Inter. Le approche patte la bien-jugé fiscale est plus délié.
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