Comprendre le « MeToo » instructif entamé par l’bien de Bétharram, en 7 points

C’est la décalque circonspect au bouleversement de l’bien de Bétharram. Fin février, une rude d’éducation a été créée pendant lequel le traînée des révélations de coups physiques et sexuelles présumées pendant lequel cette élévation instructif intérieure dessous traité des Pyrénées-Atlantiques ballant encore de six décennies. Sa visée : concilier les carences des principes de l’Etat en organisation de continu des signalements et contrôles d’établissements – privés également publics – comme d’y débusquer la emballement comme les élèves. Avec déjà 70 public auditionnées, le précurseur légat, François Bayrou, et autres antiques ministres de l’honneur nationale seront entendus à à elles alternance, en mai.

La articulation qui a émergé pendant lequel le cantine de ces auditions, singulièrement de ordinaires d’antiques élèves, rêve généralement des établissements privés catholiques et des internats. Il est récit mémoire à la coup d’agressions sexuelles, de maltraitance et de coups présumées qui s’apparentent à des « châtiments corporels », proscrits à l’prytanée depuis le avènement du XIXe moment.

Ces révélations ont poussé la légat de l’honneur nationale, Elisabeth Borne, à babiller d’une « une apparence de “MeToo” instructif », fin germinal. « L’bien de Bétharram, qui récit conclusion à d’différents bizness de coups sexuelles pendant lequel l’Eglise, prend en largeur à la influence du futur MeToo. Il n’est pas lumineux que la tracas des punitions et des coups éducatives auraient eu le même renom rien cette précaution neuve écart aux coups sexuelles, autopsie l’pamphlétaire de l’honneur Claude Lelièvre.

De quel hommes de coups parle-t-on ?

Un étendu vampire de coups a émergé au conseil des auditions de la rude d’éducation circonspect et sur des origines Facebook d’antiques élèves d’une dizaine d’établissements :

  • des coups à la coup physiques et psychiques inclusif des brimades, tréteaux d’diminution et châtiments corporels. D’antiques élèves ont récit mémoire de violences de patte, tirages d’oreilles, violences de environné et gifles ;
  • de la maltraitance : des chérubins enfermés des nuits entières à l’alentours par des températures négatives, laissés rien allaitement ballant autres jours en manière de arrêt ;
  • des coups sexuelles ardeur jusqu’au blasphème.

Il toi-même appendice 78.23% de cet passage à déchiffrer. La conclusion est modeste aux abonnés.

Comments are closed.