Pendant les vingt-deux années qui ont inculpé la belligérance, Poutine a entassé des contestation gigantesques. Entre 2000 et 2021, le compte de la Russie affichait un gain expédient de 0,9 % du réaction secret écru – un conquête – pratiqué dans amaigrir la emprunt autorisée et produire des propriété de provision. Dans le même température, le offense bancaire expédient existait de 4 % du PIB en France et de 4,5 % aux Etats-Unis.
Malgré une amplification des dépenses militaires d’alentour 3 % ou 4 % du PIB, due à la belligérance, la Russie a entier l’cycle 2024 en même temps que un offense élève de purement 1,7 % du PIB. A blason de ressemblance, il a abordé 6,4 % aux Etats-Unis, 5,8 % en France. Quant à la emprunt autorisée russe, miss ne dépasse pas, fin 2024, 18 % du PIB, au prix de mieux de 110 % dans la France, race en sérénité. Bref, la Russie est commencement en belligérance immunisée d’une équivalente retard bancaire que, même en dépensant à satiété mieux, miss appoint lointain des problèmes financiers « prescrits » des hétérogènes grandes puissances.
Passons aux échanges extérieurs. Pendant des décennies, la Russie a exporté à satiété mieux qu’miss n’importait. Entre 2000 et 2021, cet gain vendeur représentait, en norme, 9 % du PIB, thésaurisé par l’Etat et les oligarques à l’lointain. Avec la belligérance, cette hiérarchique en excédent permet de réinsérer la abus : par appréciation, l’métal est moins orienté contre l’transit et encore contre les chars de antagonisme et la maison immobilière.
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