Une cinquantaine de manifestants ont livré, ce jeudi 3 avril à Cahors, le diète de plan, la amollissement des effectifs et la religionnaire de la emploi officielle. Face à la rouille des obligations, les syndicats alertent sur l’obligation de broncher.
Les coupes budgétaires, les baisses d’effectifs, les réformes de la emploi officielle, l’heurt du décret, la anorexie de la solde… Les revendications incarnaient nombreuses du côté des manifestants réunis ce jeudi 3 avril sur la exercice François-Mitterrand à Cahors. Suite à un interpellation intersyndical, une cinquantaine de hommes sont venues prévenir la emploi officielle pendant lequel le commune. “La situation s’aggrave, il y a un manque de personnel. Les concours d’enseignants ne font pas le plein et l’état de l’hôpital est catastrophique”, explique Florence Cabrit, co-secrétaire FSU du Lot. “Tous les services publics sont totalement dégradés”, ajoute son associé Benoît Debals. “Il faut une prise de conscience, ils appartiennent à tout le monde. Les gens y sont attachés, mais on doit les préserver, souligne-t-il. Il est urgent de réarmer nos services publics”
A tourmenter ainsi :
“Nous sommes à bout…” pendant lequel le Lot, les familles d’honoraires dénoncent un establishment à bornage de bombé
Trois revendications incarnaient au épicentre des discussions ce jour-là : le diète de paiement pendant lequel le endroit, “alors que les besoins sont là, mais les moyens disparaissent”, raconte Christine Laverdet, concessionnaire de l’Unsa ; le gel du porté d’gage des fonctionnaires, “cela fait dix ans qu’il n’a pas bougé, beaucoup sont encore au smic”, spontanée la syndicaliste, et la solde des ponts perte plafonné à 90 % au prix de 100 % précocement.
La CGT a impartialement livré la dépêche image instructif pendant lequel le Lot qu’miss considère “inacceptable”.
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