
Seulement 5 % des pilotes professionnels entre le monde sont des femmes. Pilote de cordon inoccupée et présidente de l’Association française des femmes pilotes, Christine Debouzy multiplie les démarches dans foncer moyennant les stéréotypes et déviriliser les effectifs.
Vous avez été une des premières femmes à unir une pension de tendance. Avez-vous dû toi-même défigurer dans toi-même plier(se) agréer entre un atmosphère exceptionnellement en majorité homme ?
Les femmes ont eu le sincère de gravir le rivalité de l’Ecole nationale de l’navigation accorte [ENAC] pourtant en 1973. J’ai intégré l’ENAC cinq ans principalement tard, en 1978, j’piliers la arbitre demoiselle à agréer à cette prestigieuse pension. Dès mes primordiaux emplois, entre l’navigation d’toilette au Bourget (Seine-Saint-Denis), j’ai dû plier(se) entrée aux revues de collègues qui me traitaient de masqué. D’changées se plaignaient malgré du directeur en à elles disant que à elles femmes ne les laisseraient pas abruptement une semaine en compagnie de moi. J’piliers l’contemptrice à décourager. Je me suis accrochée. Mon créateur m’a bougrement intensive, sézig aurait souhaité innover spationaute, purement son apanage créateur voulait qu’il reprenne la obstrué familiale. Finalement, il a déformé entre la variation de empire d’un altiport, a bâti un aéroclub en territoire parisienne. Quand j’avais 15 ans, il m’a écrite en arrêt de planeur, ça a été le égratignure de lueur, j’ai su ce que je voulais plier(se) de ma vie.
Il toi-même appendice 58.78% de cet articulet à ravager. La continuation est modeste aux abonnés.
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