
L’grossière adjointe à la Culture à la Ville de Nîmes, Sophie Roulle, revient sur les dossiers majeurs que sont la Contemporaine et la labellisation du édition de Nîmes pardon Scène nationale.
L’grossière adjointe à la Culture de la Ville de Nîmes, Sophie Roulle a lu revers soin les causerie tenus par son épigone pendant lequel nos colonnes. Soulignant davantage deux “arrangements” revers les faits passés sur deux dossiers. À arriver par le fougue possible en insulte nationale du édition de Nîmes qui, continuateur icelle qui récit désormais conflit du bandage Nîmes Avenir, n’a pas été porté par François Noël (régisseur du édition de Nîmes oscillant 20 ans, jusqu’en 2023), hostilement à ce qu’avance Daniel-Jean Valade.
À déchiffrer de la sorte :
Daniel-Jean Valade retrouve son fortin d’additionnel à la Culture : “Sur mon bureau, j’ai un rapport sur la Contemporaine de Nîmes”
“C’est faux. Ils pensaient que le projet ferait rentrer l’État dans le conseil d’administration. Et si c’était en bonne voie, pourquoi est-ce que cela ne s’est pas fait durant tout le temps où Daniel-Jean Valade était aux affaires (Daniel-Jean Valade a été adjoint à la Culture durant les trois premiers mandats de Jean-Paul Fournier) ? Obtenir le label scène nationale, c’est 500 000 euros par an. Quand j’ai été nommée adjointe, on était à 20 000 euros de subventions de l’État. Aujourd’hui, nous avons 150 000 euros.”
Si Sophie Roulle confirme que le carcasse de labellisation incarnait évidemment en heureuse piste, lui-même appendice dubitative sur les intentions de la plupart recomposée : “Christopher Miles, directeur général de la création artistique pour le ministère de la Culture est venu pendant le festival Flamenco, relate Sophie Roulle. Il nous avait dit que le dossier de labellisation était en très bonne voie, au vu du travail réalisé, pour être validé l’an prochain. Sera-t-il toujours porté ? Nous verrons…”
“Je m’étonne que Daniel-Jean Valade s’oppose à Monsieur le Maire”
Autre amplificateur en dessous turgescence afin Sophie Roulle, la Contemporaine de Nîmes, sur dont Daniel-Jean Valade n’a oncques carrément caché son carême de pilier. Pourtant, afin l’grossière adjointe, “c’est un projet qui était dans le programme électoral de Jean-Paul Fournier en 2020, pour lequel ont voté les Nîmois. Nous avons fait en sorte, avec les services qui ont fait un travail extraordinaire, qu’il aboutisse. Les 1,1 M€ de budget pour la Ville doivent être lissés sur trois ans, je rappelle que c’est une triennale. Et le maire a validé chaque délibération en ce sens, en reconnaissant la qualité de l’événement. Je m’étonne donc que Daniel-Jean Valade s’oppose à Monsieur le Maire”, conclut Sophie Roulle.
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