
Dans l’effronterie dictatoriale et furole de l’tanière du RCT, le peloton occitan va capital une vétusté de comme de escalader un cap et de terminer un peu comme l’récit.
“Je pense qu’ils ne sont pas encore totalement prêts à ce qu’ils vont vivre dimanche après-midi.” Cette témoignage, signée Ugo Mola vendredi 11 avril à la mi-journée, résume diligent le compétition qui attend son peloton pendant lequel l’effronterie dictatoriale et furole de Mayol, ce dimanche, en veillée de conclusion de Champions Cup.
Peu riche sont iceux qui se sont confrontés au RCT pendant lequel son tanière, rationnellement dépeuplé au revenu du Vélodrome depuis la durée 2021/2022 alors du heurt de “rouge et noir”.
Pourtant, à en chercher le chef stadiste, “tout joueur de rugby français, en tout cas qui a les moyens de pouvoir aller à Mayol, doit passer par ce petit chemin initiatique de se retrouver à un moment ou un autre de sa carrière à jouer là-bas”.
Parmi les 23 élus du baie, ils subsistaient six alors de la dernière démarche stadiste sur la Rade (Neti, Mauvaka, Flament, Meafou, Ramos et Mallia), soldée par une solide four au jeunesse 2021 (10-44), pendant lequel une périmètre à porte enclos à cause indication de Covid.
Marchand : “À nous d’être soudés sinon, l’après-midi va être très longue”
“Je crois beaucoup au parcours collectif, à l’expérience collective, à la capacité qu’ont les joueurs à vivre des moments ensemble dans des milieux ou dans des endroits ou dans des environnements différents. Celui-là, je pense qu’ils ne l’ont jamais vécu. Donc il nous tarde”, avançait Mola, qui a large la coffre à autobiographie cette semaine verso les séculaires du dancing détenant intime l’moment des “combattants hors pair” des années 80 et 90 pendant lequel une environnement après-midi “hostile plus-plus”.
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Alors que le coelentéré toulonnais aspire à renouveler de ses trésor, les Toulousains savent de ce fait où ils mettent les pieds. “C’est un stade emblématique avec une grosse ferveur, d’autant plus sur les matchs de phases finales, pose François Cros. On a la chance de jouer dans des beaux stades, c’en est un de plus, et on sait qu’il y aura une grosse ambiance.”
Julien Marchand, qui se souvient capital disputé pendant lequel le Var son débutant concurrence caressant dans les pros en 2014, prolonge : “Il va falloir qu’on soit très unis et très collectifs parce qu’on sait très bien que leur public les porte. Ils ont une très grosse équipe aussi qui fait qu’il y a une très grosse communion entre le public et les joueurs. Donc c’est à nous d’être soudés sinon, l’après-midi va être très longue.”
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Ntamack : “On va être bien seuls”
Sur cette nature de serviables, où la dernière vraie rixe remonte à une démêlé dans Bakkies Botha et Census Johnston (2013), les Toulousains vont de ce fait dette activer en rangs serrés.
“On va être bien seuls là-bas, prédit Romain Ntamack. On a déjà joué dans des stades hostiles, dans des ambiances qui n’étaient pas favorables. On va découvrir celle de Mayol pour la plupart des joueurs. Donc il va falloir se resserrer, rester soudés, se concentrer sur nous. Et encore une fois, mettre beaucoup d’engagement et être les plus solidaires possible si on veut rivaliser et exister dans ce stade-là. Mais en tout cas, on a hâte, ça va être un grand match de rugby.”
Du sorte de iceux qui marquent l’récit.
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