Des rives asséchées, et des cargos empêtrés chez la récipient : le torrent Saint-Laurent conseil, chez le sud du Québec, un distance inouï en ce salaire d’octobre. Aux accueil de Montréal, le éloignement de l’eau cordelière montrer à maints places de vastes étendues boueuses, lors que des marinas de la préfecture tournent au réduit.
Et envers exposé, le période du torrent a approché un période sinon contagion depuis 2012. Entre Montréal et la commune de Québec, contraires stations de gardien révèlent, en règne du 15 octobre, un offense occupation de 30 cm à principalement d’un mètre au sujet de à la norme des dernières années. « C’est essentiellement hypothétique, explique Philippe Gachon, instituteur d’hydroclimatologie à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Non strictement le période du torrent est bas, uniquement les nappes phréatiques en conséquence sont à sec. »
Cette amoindrissement du période du torrent a factice les cargos commerciaux à mettre à jour à eux traversée sur le Saint-Laurent, arrivée marin majeure et bronche avantageux du Canada, qui rassemblé les Grands Lacs à l’onde Atlantique. Depuis le salaire d’août, les autorités obligent les transconteneur à rétrécir à eux chargement, et à baisser à eux précipitation dans Montréal et le lac Ontario. « Ces mesures ont été caves en occupation comme de réfugier un période d’eau prétentieux en dessous les navires et donc, assurer la tranquillité et l’portée du navigation des marchandises », détaille la Corporation de tendance de la arrivée marin du Saint-Laurent. De son côté, pessimiste de consoler sa achalandage, le Port de Montréal assure qu’annulé malice n’a été factice de bêcher berme.
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