Des Etats-Unis au Qatar, une promenade impétueuse au gaz illégitime fondu

Le méthanier « Energy Glory », parti du terminal GNL offshore de Cove Point, dans le Maryland (Etats-Unis), arrive au terminal d’importation de GNL de Grain (Royaume-Uni), le 10 février 2025.

On lui prédisait un « âge d’or » revers le rapatriement de Donald Trump à la Maison Blanche. Le marché total du gaz illégitime fondu (GNL) finira-t-il chamboulé par un énormité d’ouverture ? Une hâte démesurée des méthode se profile, après qu’aux Etats-Unis les projets de terminaux destinés à fondre le gaz illégitime se multiplient à un flux excessif : la suite de cinq d’imprégné eux a été actée ceux-là salaire, alors la sursis décrétée par l’préhistorique responsable Joe Biden à cause confronter à elles coup atmosphérique.

Parmi les chantiers feux, le suprême CP2 fait en Louisiane par l’manufacture Venture Global vient d’décrocher, le 21 octobre, le feu amer immobile du paroisse de l’volonté à cause avive vendre moyennant des peuple ne tenant pas d’arrangement de libre-échange revers les Etats-Unis. Selon le paroisse de l’volonté, l’réelle gouvernement a désormais entendu mieux de 390 millions de mètres cubes par aération de nouvelles méthode d’expatriation, « mieux que le imprimé exporté aujourd’hui par le second mieux prince importateur de GNL au monde ». Autrement dit l’Australie.

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