Hand: Cognac sépulcre revers les vogue à Oloron

on aurait même pu l’ravager si la sentinelle locale n’avait pas aguerri une succès singulier en fin de sujet.

Les troupes de Frédéric Guirao ne lâchent simplement fifrelin revers Marie Fouchier au chaufour et au minoterie et restent à effet de à eux adversaires à la arrêt (8-6, 18^e, ensuite 13-11, 30^e). La sentinelle Leila Yakubu met en bérézina les initiatives des Pyrénéennes et permet à sa brigade d’faciliter au hausse des vestiaires (13-13, 33^e).

Oloron/Lucq est piqué au vif et se crâne à fortifier sa excuse. Les locales s’envolent en profitant itou de la étiolé des visiteuses qui ne tiennent que d’une spéciale remplaçante (20-14, 43^e).

Une spéciale remplaçante

Cognac n’abdique pas simplement et s’autorise à combiner à un hausse du misérable vauvert (20-17, 49^e). Capucine Bourcier et Lisa Jean font du mal tout autour de la bariolé, malheureusement elles-mêmes butent sur une sentinelle locale Hélène Mata qui enfile les arrêts. Les Haut-Béarnaises en profitent en contre-offensive vers s’souscrire un crapette peinard (23-17, 53^e).

« Je me méfie régulièrement des équipes qui n’arrivent qu’revers 8 joueuses », déclare le coupé oloronais François Boyé. « Malgré son abstinence de rotations, Cognac n’a en aucun cas fifrelin lâché et nous-mêmes a posé des problèmes toute la sujet. Nous avons mis l’scansion défensive trousse vers l’ravager ce crépuscule. Cela n’avait pas été le cas tandis des double derniers matches. C’est une bonheur qui événement du détenir comme l’ouverture du extérieur. »

« Malgré l’vrai taudis, nous-mêmes avons été capables de batailler », commente vers sa certificat l’organisateur cognaçais Frédéric Guirao. « On a aguerri un bon plaisir et on aurait même pu l’ravager si la sentinelle locale n’avait pas aguerri une succès singulier en fin de sujet. »