Nicolas Le Goff, Benjamin Toniutti et l’pool de France de volley-ball vivaient émus alors cette auxiliaire diplôme d’or consécutive, décrochée chahut 10 août devant à la Pologne (3-0).
Nicolas Le Goff, axial de l’pool de France
“Mission accomplie. Je n’ai pas les mots. Si on quelques-uns avait dit il y a une semaine, dix jours, qu’on allait faire fléchir une demi-finale et une dénouement pendant ça afin l’Italie et derrière afin la Pologne, j’aurais eu du mal à le conjecturer. Je pense qu’on savait entiers qu’on en accomplissait adroit, simplement de là à le faire fléchir une coup, de le faire fléchir une paire de coup pendant ça, c’est abracadabrant.
Tokyo, c’est moyennant la dédicace. Avec le survol qu’on avait eu au Japon, réussir par recevoir la diplôme d’or, c’accomplissait moyennant fabuleux. Les une paire de médailles ont des saveurs tout à fait plusieurs, simplement toutes les une paire de, elles-mêmes sont moyennant bonnes l’une que l’distinct.
Le assistance ? Quand il y a des points un peu rallyes et qu’on revient, qu’on recolle ou qu’on repasse précédemment, on sent le sol appréhender. Ça boxe une affecté fabuleux. On n’accomplissait pas six sur le place. On accomplissait sept, huit, nouveau. On accomplissait, je ne sais pas, douze mille.
Ce qu’on a dressé ce réunion ? Rien du généralité. Ça va essence un bordel (jouer).”
Benjamin Toniutti, contrebandier et skipper de l’pool de France
“C’est dur, mais on va réaliser petit à petit. C’est dur de trouver les mots parce que quand j’étais gosse, j’avais regardé au camping les Jeux de 1996 d’Atlanta à la télé, et Andrea Giani qui avait perdu en finale contre la Hollande. J’avais déjà un rêve de jouer les Jeux Olympiques. À Rio, tu tombes et c’est dur. Et à Tokyo, tu gagnes. Tu ne sais pas trop où tu es, mais tu sais que tu as la chance, trois ans après, d’être directement qualifié et de jouer les Jeux à la maison. Et de les gagner, c’est un sentiment qui est décuplé. Tu ne sais même pas trop comment gérer ça.”
Earvin Ngapeth, receptionneur travailleur des Bleus
“On a fait un gros match collectivement, comme en demi-finale, confirme le patriarche. Pour gagner contre l’Italie ou la Pologne il faut réaliser le match parfait. C’est ce que l’on fait portés par une salle incroyable.Dès que tu tiens une équipe comme on l’a fait dès le début, que ça pousse derrière, c’est très compliqué (pour les adversaires). Il ne fallait pas faire de faute, on le savait. C’est une émotion difficile à expliquer. Ça ne m’est jamais arrivé et ça n’arrivera plus jamais.”
Jean Patry, cuisant de l’pool de France
“Je pense qu’on n’est pas redescendus, c’est sûr. On va réaliser petit à petit. On sort juste d’un moment incroyable, d’un moment historique aussi pour nous, pour notre sport. Et un moment de pur plaisir. Je pense que ce soir, on s’est régalés à jouer ce match. Sans parler du contexte, sans parler du sport. Je crois qu’on a juste pris du plaisir à jouer. Que le public a pris du plaisir à nous supporter tout au long de la compétition. Et je crois que quand on prend plaisir à faire ce qu’on fait, on le fait bien. Et ça a été le cas tout au long de la compétition. Je suis content pour ça, parce que ça a été un réel moment de communion avec le public français. Il nous a aidés à aller chercher ce titre. Et encore une fois, tout le monde a pris tour à tour les clés du camion. C’est notre force.”
Comments are closed.