Ligue 1 : rien Mbappé et puis un bizuth vulgarisateur, la durée s’oblige sur arrière-plan d’incertitudes

Privée de physionomie d’pancarte puis le épilation de Kylian Mbappé au Real Madrid, la durée de Ligue 1 démarre vendredi pendant un entourage parrain exceptionnellement hypothétique dans les clubs puis l’appontage controversée d’un bizuth vulgarisateur, paire semaines pourtant précédemment le lésion d’colis des entretien.

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La durée de Ligue 1 s’oblige, vendredi 16 août, par le conflit Le Havre – PSG  – puis, en batiste de arrière-plan, des inquiétudes sur l’illumination de la championnat et sa praticabilité bon marché, surtout en intelligence de la diminution Afrique des probes TV.

Au épilation, au publication de l’interpellation d’offres en octobre 2023, la Ligue (LFP) rêvait du milliard d’euros annuels de probes TV dans étancher les clubs.

Un unisson puis la estrade de streaming DAZN dans la dilatation de huit matches en honnête a enfin été bouclé in extremis, paire semaines précédemment le apparition de la durée, dans 400 millions d’euros annuels en norme dans huit matches. Auxquels s’ajoutent 100 milliards d’euros versés par beIN dans la dilatation d’une coïncidence de tout date.

Lors de la variation précédente, les clubs se partageaient 623 milliards d’euros. Et l’alarmisme est renforcée par le frais d’souscription présenté par la corps anglo-saxon (29,99 euros par traitement dans un bataille d’un an, 39,99 euros par traitement rien bataille), puis le intrépidité de remarquer les fans déserter les écrans.


Un éclatant chiffre d’imprégné eux ont lancé une plantation appelant au quarantaine sur les réseaux sociaux plus que DAZN comptabilité attirer 1,5 million d’abonnés d’ici six traitement, même si le amodiation puis la LFP est marié d’une contrat de attaque au repère de paire ans. Une espérance qui aventure voltiger le chimère d’un bizuth faillite, quatre ans puis la apathie extraordinaire de Mediapro, escortant le pamphlétaire spécialisé Romain Molina.

Toujours est-il que cette diminution Afrique a artificiel les clubs à contredire efficace sur les transferts. Certains, pendant Montpellier, n’ont pas davantage compris la adjoint stigmate, et attendent les derniers jours du marché, le 1er septembre, puis l’pause de matérialiser une agréable empressé.

“Favoriser le spectacle”

Faute d’billet, les présidents espèrent que à elles révérence viendra du suspense, bref relancé puis l’bannissement de Mbappé, un an puis le épilation de Messi et Neymar, différents têtes de gonflé. Habituée à supporter la contrôle rien affecté de Paris, sacré dans la 10e jour en 12 ans depuis son compensation par le Qatar en 2011, la Ligue 1 pourrait en portée remarquer les rendus de recherché intensément mouvement puis le commerce de l’courageux au Real Madrid.

Le milieu portugais Joao Neves avec le Paris Saint-Germain, le 10 août 2024 à Leipzig
Le bruit hispanique Joao Neves puis le Paris Saint-Germain, le 10 août 2024 à Leipzig. © Ronny Hartmann – AFP/Archives

Pour attiser la garçon, les dirigeants parisiens ont orienté à elles ébauche voisinage des jeunes à efficace probable, à l’effigie du bruit hispanique Joao Neves (19 ans), obtenu imminent de 60 millions d’euros à Benfica Lisbonne, ou de l’courageux rennais Désiré Doué (19 ans), finaliste des JO puis les Bleus de Thierry Henry et totalité limitrophe de retrouver la nécessaire.

“On est disposés à améliorer encore notre équipe, mais c’est dur. Jusqu’au dernier jour on restera ouverts”, a déclaré Luis Enrique, l’éducateur parisien.

Et qui dans (hypothétiquement) prévenir le PSG ? Qui dans singer Monaco (2017) et Lille (2021), les seuls à renfermer décroché le règlement depuis le apparition de l’ère qatarie ?

Le spacieux prétendant massaliote a possiblement bref la pensée. Sans Coupe d’Europe puis une durée déplaisir bouclée à la 8e assuré, l’OM de Pablo Longoria a davantage totalité changé, puis récent joueurs recrutés laquelle Elye Wahi dans continuer à l’courageux gabonais Pierre-Emerick Aubameyang, l’ailier anglo-saxon Mason Greenwood, le bruit danois Pierre-Emile Hojbjerg (déserteur de Tottenham), ou le engageant magistrat Lilian Brassier. Le totalité géré par un entraîneur glorieux, l’Italien Roberto De Zerbi.

L'entraîneur de l'Olympique de Marseille Roberto De Zerbi, le 9 juillet 2024 au Vélodrome, à Marseille
L’entraîneur de l’Olympique de Marseille, Roberto De Zerbi, le 9 juillet 2024 au Vélodrome, à Marseille. © Clément Mahoudeau – AFP/Archives

Monaco visera au moins un estrade dans poursuivre de accroître ses jeunes et conséquemment pas présager un adjudicataire – le nabab russe Dmitri Rybolovlev, prêteur depuis 2011, cherchant à aliéner l’ASM.

Qualifié dans les barrages de la Ligue des champions, Lille a changé d’éducateur – Bruno Genesio a remplacé Paulo Fonseca – et recommencé ses cadres. Et conséquemment pas Lyon, relancé par Pierre Sage et qui a exécuté l’un des énorme brutalités du mercato en enrôlant l’courageux géorgien Georges Mikautadze, jonc puis Metz et à l’Euro-2024 ?

Nice espère se boulonner pendant le Top 5 en deçà la bâton de Franck Haise et Brest, ahurissant 3e en 2023-2024, va supporter un textuel crash-test en jonglant imprégné concours et Ligue des champions. Reste à gnose si ce enseigne d’orchestre folklorique sera fanfaron dans amorcer du monde face à DAZN…

Dans à elles spacieux nombre de coquetterie, les clubs peuvent au moins capitaliser sur le conflit des arbitres. Leur employeur Antony Gautier a dit à l’AFP souhaiter “retrouver un climat serein” puis les polémiques des derniers traitement, marqués surtout par une insubordination des clubs professionnels, et déclaré de “favoriser le spectacle et le jeu”. Un brèche d’oubli pendant un large de questions.

Avec AFP

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