Le Sporting night-club decazevillois et la éternelle parentèle du rugby gaulois est pendant lequel la réparation à l’avis du petit mort de Jean-Claude Bérejnoï à l’âge de 85 ans.
Né à Decazeville, « l’poupon des Estaques », formé au Sporting, a endossé son liminaire tricot d’cosmopolite pendant lequel le quinze fils gaulois contraste au Pays de Galles en 1957.
L’cycle suivante, Tulle recrute ce adolescent au taille déjà cohérent. Il ne tardera pas à se installer en prémisse et, postérieurement trio nouvelles pèlerines d’cosmopolite martial, fera son hall pendant lequel la cortège des grands de 1963 à 1967 pendant dont il sera capé à 27 reprises spectateur à 4 tournois des Cinq Nations.
4 tournois des Cinq Nations
En 1970, postérieurement douze années passées à Tulle, le Sporting, à la hypocrisie d’un chef à renifler avant, récupère l’« poupon du province » qui mettra continuum son sapience et son recherche au corvée de son night-club d’avènement. Le Sporting réalisera cette année-là un circuit jusqu’en demi-finale et accédera à la lauréate partition.
En 1973, il approché Maurs où il s’est assuré adroitement et offrira ses connaissances rugbystiques. Le Sporting refera destination sonorité de 1976 à 1978 puisque animateur – compétiteur.
Sa éternelle honneurs s’est ressentie tandis de son jubilé fêté en 1981 pendant lequel la convoqué cantalienne de Maurs où s’rencontraient déplacés afin l’brocante ses antiques coéquipiers et amis Spanghero, Boffeli, Cabanier, Carrère… et disparates joueurs venant de Tulle, Decazeville, Aurillac, Figeac. Une exquise réunion d’sentiment et d’gloire que ce jour-là.
À la fin de son circuit champion, Jean-Claude s’est reconverti pendant lequel les assurances possédant un succursale à La Vitarelle à Decazeville, en tenant son ami Michel Labro entrée d’obliger un adjoint organisme pendant lequel la convoqué cantalienne où il prendra une bauge apanage méritée.
Si Jean-Claude ne s’en laissait pas évaluer sur le pré, c’réalisait un altruiste aimable et heureux pendant lequel la vie de entiers les jours. Sa étourderie terrassé entiers ceux-ci, joueurs, amis, supporters qui l’ont commun et côtoyé. À son égérie Jacky, à ses couple gars Thierry et Manu, à entiers les siens, vont nos apitoiement et à nous empathie.
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