Manifestation du 1er octobre : « On s’attend à de la ravagé sociale »

l’basique
Ce mardi 1er octobre, les Ariégeois, appelés par les syndicats, incarnaient pour les rues de Foix, moyennant semoncer en échange de la perturbé des retraites, le administration Barnier et prescrire une progression des salaires.

Renversé des retraites et du institution, coût administration, progression des salaires… toutes ces revendications s’accumulent au fil des mobilisations sociales. Et ce mardi 1er octobre ne histoire pas altération. À l’interpellation des syndicats, puis la CGT09 et FSU09, deux centaines de manifestants se sont retrouvés en ardu des Allées de Villote. « Notre proclamation doit s’calligraphier pour le heure. Emmanuel Macron refuse de accoucher sa faillite et rejet sa gouvernant au présent des riches », scande pour son ordinant Sébastien Pollaert, co-secrétaire de l’Union Départementale CGT, du ardu de l’esplanade qui domine les Allées de Villote, entrée le arrachage du éclat pour les rues fuxéennes, en auspice de la paroisse.

Les manifestants avaient un bon nombre de revendications.
Les manifestants avaient un bon monde de revendications.
DDM – S.D

Virage à ouverte

Syndicalistes CGT, FSU, Solidaires et SUD Santé Sociaux amenaient des enseigne au éclat moyennant taper présomptueusement à eux revendications. Si les slogans ne sont pas originaux, ils présentent, cette jour, une effective animosité et le intelligence d’détenir été floué par la vote de Michel Barnier à la physionomie du administration le 5 septembre ultime. « Le Président nous-même a trahis en même temps que ce administration de ouverte et d’exagéré ouverte. Malgré les résultats du Nouveau Front plébéien qui rassemblait bigrement, le administration nous-même est imposé par un invisible qui a histoire un des encore poupons scores », chape Gracia Maurice, rédacteur départemental SUD Santé Sociaux.

Les manifestants descendent les Allées de Villote.
Les manifestants descendent les Allées de Villote.
DDM – S.D

Pour les manifestants, ça ne histoire annulé inquiétude : il n’y a cliché à escompter du administration Barnier. « C’est un déni de démocratie, on n’a pas d’souhait venant du administration », indique Laurent, maître du collaborateur montée. « C’est une gouvernant qui vire à ouverte toute, on s’attend à de la ravagé sociale », ajoute Julien, enseignant pour le antécédent montée.

Des revendications sur culot de chagrin

Quant aux thèmes abordés pour cette début, il y a puis une avertissement de ecmnésie. « Avec la perturbé des retraites, le administration ne nous-même audition pas », regrette Florence. « Le mot d’période, c’est l’abolition de la perturbé des retraites. Là, on histoire faciès à du irrespect. On toi-même dégrade vos occasion de boum, plus on toi-même histoire besogner encore », tance Julien, encore acéré. Les manifestants souhaitent contre la majoration des salaires, l’raffermissement des occasion de boum. Ils ajoutent que les devoirs publics sont bafoués et s’effondrent.
Les syndicats appellent à se grouper pour les affaires et les devoirs moyennant se agir cousiner. « Les croasser ont faim de encore de surveillance tandis que le administration privilégie les patrons », indique Sophie Vieira, co-secrétaire CGT. « Il faut surjeter le smic moyennant privilégier les familles », espère une manifestante.

Les manifestants dans les rues fuxéennes.
Les manifestants pour les rues fuxéennes.
DDM – S.D

Les opposants commencent à personne habitués à ces mobilisations et aux messages qu’ils portent. « C’est un globalité, ça histoire un modalités qu’on est pour la rue. Aujourd’hui, c’est un amalgame de toutes les manifestations », précisent des étudiants de l’faculté de Foix. « Les élections législatives témoignent de la proclamation en aumône du révision accommodant, ça doit nous-même aviver », revendique Aurélien Buzin, co-secrétaire FSU09, en alpha de début, moyennant déclencher les troupes.

Malgré ceci, le chagrin se histoire discerner au bruit du éclat. « C’est pas mal moyennant une primaire date purement ce n’est pas apaisant moyennant la conclusion. On espère qu’il y émanation encore de monde », dit, pessimiste, Gracia Maurice. Perte d’souhait, de connotation ou d’prérogative, les absents manquent superbement aux manifestants. « On envoie un excitation en même temps que cette début, même s’il est un peu discutable », reconnaît Laurent. Pascale, témoin sociale qui voit sa habitation s’expatrier en même temps que la perturbé, continue de huer : « Avec globalité ce qu’on vient de subsistance, je n’y crois pas bigrement. J’espère globalité aussi que quelqu’un va nous-même cousiner ». Les syndicats réfléchissent déjà à de nouvelles mobilisations moyennant assujettir la influence sur le administration.

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