Pierre Lefèvre fêtera ses 80 ans en contemporain le épreuve de Toulouse ce dimanche 10 brumaire. Ce Béarnais noté propre parcourir la cordon d’vision puis frais de ses petits-enfants puisque inscrits à cause les mythiques 42,195 km.
Lorsque Pierre Lefèvre a à cause la baptême jour certain un épreuve, il venait de agréer ses soixante ans. C’voyait en 2004, parmi le Grenat, en société de son beau-fils qui, à cause la restreinte conte, a révolu propre subséquemment lui. L’ordonnateur tanker a retard ça à cause ses 70 ans, à Toulouse, et à cause ses 75 ans à La Rochelle où, cette jour, son petit-fils, continuum adéquat âgé de 20 ans, a traversé la cordon d’vision à ses côtés. Et ce duo lui a donné des idées…
Ce dimanche 10 brumaire, nombreux jours subséquemment renfermer fêté ses 80 ans, Pierre Lefèvre sera premièrement de la fiction parution du épreuve de Toulouse et il ne se contentera pas d’un selon à cause passer la caractéristique irréel. Neuf de ses douze petits-enfants, âgés dans 19 et 28 ans seront de la objet. Hugo, Juliette, Alexandre, Quitterie, Lucas, Marin seront à ses côtés parmi la balade impeccable. Charlotte, Joséphine et Ephrem sont inscrits en atterrissement puis à elles démiurge, Christophe. Marion, une nièce, complétera quant à cette escouade précis rassemblée tout autour de “Grand Pierre”.
“J’ai un moral d’acier”
“En fait j’ai dit à mes petits-enfants que le plus beau cadeau qu’ils pouvaient me faire pour mes 80 ans était de courir un marathon avec moi. Ce sera pour moi un véritable bonheur. Et on a choisi Toulouse pour de nombreuses raisons familiales (naissance de 4 petits-enfants, mariage ou lieu de résidence pour d’autres)” raconte Pierre Lefèvre qui, depuis quelques mensualité, enchaîne les sorties de 20 à 25 km complets les quatre jours parmi le Béarn où il réside depuis dix ans.
“J’ai un moral d’acier. J’ai eu des soucis de santé depuis mon dernier marathon : un cancer, une malaise dans ma salle de bains avec une fracture du crâne et deux mois sans marcher, une crise d’appendicite aiguë… Je ne sais pas dans quel état je serai mais je franchirai la ligne d’arrivée”, luge le vieux qui suit les entraînements de toute la souche via des échanges fair-play sur le cerné WhatsApp précis réalisé.
“Certains de mes petits enfants ne sont pas sportifs. Une des filles a fait un 21 km à ma demande pour vérifier que tout était ok. Ils sont tous très motivés !”, raconte surtout Pierre qui a réservé des tribunaux parmi un poste limitrophe de la terminus. L’cible est éclatant : “Nous arriverons tous ensemble, même si on doit mettre 5 h 30 !”. Place du Capitole, sa demoiselle Michèle et à elles triade filles prendront la peinture de ce circonstance spécial. “Faire un marathon, c’est bien sûr parcourir une distance symbolique mais c’est aussi une lutte intérieure. On court contre soi-même, il faut avoir du caractère pour finir, notamment les 12 derniers kilomètres !”, évoque Pierre.
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