Les missions de la information sous-préfète de l’Aude Amélie Trioux

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Amélie Trioux, information administratrice de facilité du éparque de l’Aude, a administrativement entrepris ses impératifs le 25 octobre.

Par promulgation du chef de la Ville, Amélie Trioux a été nommée information administratrice de facilité du éparque de l’Aude verso charte de sous-préfète, le 25 octobre, succédant à Linda Zouari. Depuis son vision sur le province, la information sous-préfète a été mobilisée par la sacre de quelques ministres, celle-là de la Ruralité Françoise Gatel et Annie Genevard à l’Agriculture. Une obtention de place qui démarre hormis étape crevé derrière l’technocrate de 28 ans (grade Joséphine Baker).

Native du Pas-de-Calais, Amélie Trioux vit sa dédicace démonstration en beaucoup que sous-préfète malheureusement, derrière pareillement, sézigue a déjà terminé des stages contre de étranges préfectures, à atteindre par celle-là du Nord. “J’ai compris à ce moment-là que je voulais être sous-préfète, alors que je faisais mes études à Sciences Po Lille. Je me suis sentie utile et j’ai adoré le terrain”, précise-t-elle devanture d’remémorer la succession de son circuit. “J’ai été contractuelle à la Direction des libertés publiques et des affaires juridiques (DLPAJ), j’ai fait beaucoup de contentieux et de droit. Mais je me sentais un peu chez moi dans une préfecture alors j’ai mené deux ans de préparation pour les concours et j’ai été reçue à celui de l’ENA, aujourd’hui appelé INSP (Institut national du service public).”

Par la succession, la grand commis a fini un séjour à Bruxelles, “à la représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne sur des sujets d’Amérique latine, Asie et Chine”, devanture d’rejoindre pour les épreuves de la canton de Charente, derrière une période de huit mensualité. “Maintenant, je suis chargée de mission auprès de la préfecture de l’Aude.” Voilà derrière le curriculum vitae.

Préparation à la chemin de exaspération et constituer apparence à la délinquance

Parmi les “grandes missions” qui lui ont été confiées, il y a d’alentours la prélude à la chemin de exaspération. “On est sur un département très concerné par les sujets sécheresses, inondations et feux de forêts. Il y a des enjeux de transmission et de promotion de la culture du risque. Il faut que l’on soit prêt en sensibilisant les élus et la population, on a tous en mémoire ce qu’il s’est passé à Trèbes avec les inondations de 2018”, détaille Amélie Trioux.

En dénombrement, l’un des primitifs équitables fixé sera le budget ordinaire de préservation. “Beaucoup de communes ne l’ont pas encore, il permet de faciliter la gestion de crise et aux élus de se repérer”, ajoute-t-elle. Et de transmettre : “Toutes les communes du département sont marquées par deux risques, incendies et inondations. Là, on a deux cas de figure, soit des communes qui n’ont pas du tout de plan communal de sauvegarde, ce qui peut être engageant vis-à-vis de leur responsabilité, soit des communes qui vont plutôt axer sur les inondations car elles se sentent plus concernées par ce sujet.”

Autre primauté : la délinquance et le concussion de stupéfiants. “Cela reste un sujet dans les villes, mais on voit qu’il concerne aussi les petites communes et les milieux ruraux.”

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