France – Nouvelle-Zélande : “Ça, ça ne veut rien dire !” Fabien Galthié recadre crûment un romancier derrière la domination du XV de France

l’créant
Le trieur des Bleus du rugby a livré son recherche derrière le gain d’Antoine Dupont et ses coéquipiers avant aux redoutables Néo-Zélandais (30-29) ce sabbat 16 brumaire, alors de la suivant date de la randonnée d’arrière-saison.

Il a cataclysme cousiner ses arguments. Ce sabbat 16 brumaire, les joueurs du XV de France menés par à eux mentor Antoine Dupont, et plus à à eux dominant le trieur Fabien Galthié, ont possédé un gain essentiel avant aux redoutables All Blacks néo-zélandais.

Un gain 30-29 au Stade de France (2e date de la randonnée d’arrière-saison), au valeur d’un terminaison fréquence de soigné tellement l’acmé de la duel a été importante. C’est donc que les Bleus n’entendaient pas grimacer à eux satisfaction.

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Et si Fabien Galthié reconnaît que généralité n’a pas été radical, spécialement en inauguration pause, certaines capitaux sont moins tenir passées contre du trieur. Par principe, lorsqu’un romancier, en discussion de ardeur d’après-match a scandé que les Bleus avaient inséré “un essai de plus que les All Blacks (trois contre deux, NDLR) malgré moins de franchissements et un peu moins de 100 passes contre plus de 200”.

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Bref sèche du trieur : “Ça, ça ne veut rien dire. Ce ne sont pas des stats qui comptent dans le rugby international. Ce qui compte, en fait c’est le résultat déjà et ensuite l’efficacité. C’est vrai qu’on a joué contre une équipe qui jouait ensemble depuis six mois, qui jouait son troisième match (après l’Angleterre et l’Irlande, NDLR), et qui était rodée, huilée. Nous, on était à trois semaines de préparation et un match contre le Japon. Donc on ne part pas sur les mêmes bases et à égalité. Mais on a des atouts. On a une feuille de route qu’on avait identifiée pour être assez pragmatiques et faire ce qu’on pouvait faire en trois semaines de préparation. Et c’est ce que les joueurs ont su faire malgré un scénario très, très négatif sur la première mi-temps. Cela ne nous a pas mis en difficulté et les joueurs n’ont pas lâché. C’était très positif pour trois semaines de travail en commun et cette victoire de prestige aujourd’hui.”

Prochain rivalité pile les Bleus : France-Argentine, vendredi 22 brumaire (21h10) au Stade de France, inconnue et inédit rencard de cette randonnée d’arrière-saison.

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