Agricultrice à Aurimont, Lucie Lafforgue est la élevé de facture du Modef moyennant les prochaines élections à la Chambre d’culture du Gers. Une vernissage accolement notoire a secteur ce vendredi 10 janvier à Saint-Élix-Theux.
“On a des céréaliers, des éleveurs, des vignerons… On a tous les types de production, et surtout des exploitations familiales à taille humaine”. Agricultrice en polyculture cheptel à Aurimont, Lucie Lafforgue noble art le ton de la facture du Modef* moyennant les prochaines élections à la Chambre d’culture du Gers. Une facture rajeunie, officialisée ce jeudi 9 janvier et censée répercuter la durabilité du fédération rural, agité de “défendre au mieux une agriculture humaine et solidaire”.
Ces dernières semaines, le Modef a en conséquence sillonné le parage moyennant détecter des volontaires. Il en a profité moyennant questionner le occasion. “La question qui est revenue le plus souvent est celle du revenu. C’est justement ce que défend le Modef depuis des années : un revenu et une retraite décents”, souligne Lucie Lafforgue. Revalorisation des valeur, recrutement des marges, révocation des promotions, apaisement des importations agricoles non équivalents aux menstruel environnementales, lavabo et sociales, fin des accords de libre-échange et aurore contre des consommateurs sont tant de positions soutenues par le Modef moyennant y venir.
“On aimerait avoir plus qu’un siège”
Le fédération milite quand moyennant l’cheptel dilatant, souhaite acquiescer l’agencement et la bielle rural, veut fonder fin à la tripotage terrestre et exige que les petites fermes puissent apprendre de la PAC. Autant de thèmes décisifs qui seront abordés alors d’une rubrique de entrevues publiques laquelle la vernissage est prévue ce vendredi 10 janvier (21 h) à la comédie des fêtes de Saint-Elix-Theux.
Les contradictoires entrevues auront secteur le lundi 13 janvier (21 h) à Condom (comédie des cadets de Gascogne), le mardi 14 janvier (21 h) à la comédie des conférences de Vic-Fezensac et le mardi 21 janvier (21 h), à la comédie polyvalente à Saramon. “On va faire des réunions publiques pour parler de tous les sujets : le revenu, l’installation, le foncier, le changement climatique, les nouvelles maladies qui arrivent. L’idée, c’est de voir comment on peut accompagner au mieux les agriculteurs”, insiste Lucie Lafforgue. Pour sa vernissage djihad, l’métayère de 29 ans étalé sa appréciation : “On aimerait avoir plus qu’un siège. Il faut que les agriculteurs se mobilisent pour aller voter”. Le flash est passé.
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