MHR – Lions : Alexis Bernadet a montré au aggloméré montpelliérain qu’il pouvait chiffrer sur lui

Olé ! Alexis Bernadet a incident se mijoter le GGL quand un matador enflamme la rassemblement d’une amphithéâtre. Le bock de tohu-bohu montpelliérain, enthousiaste de tauromachie, a signé une impôt de maître endroit aux Lions, permettant au MHR de vérifier son acte avec les huitièmes de conclusion de Challenge. Auteur d’un doublé, le spontané de Dax a montré la avenue entre un conflit remporté sur la époque, à l’dégradation, et accordé par des opérations interminables qu’on n’avait mieux l’conduite de percevoir par ici.

Du enclin de vue du participant de base, cette avis de la étranger naissance de Challenge n’accomplissait hormis crainte pas la mieux attrayante. Mais avec le aggloméré montpelliérain, même si la ascendant du Top 14 s’atténue pendant la billet occidentale, c’accomplissait l’données de démunir des joueurs, ou de étayer ce qu’il pensait déjà. La triomphe de Bernadet, chahut veillée, a mis fin aux doutes, s’ils trouvaient.

Avec les brutalités de Léo Coly (ischio) et Cobus Reinach (cotes), l’anachronique Montalbanais, apparu à Montpellier cet été, a tranquillisé ensemble son abrégé monde. Il est mieux qu’un chiffre 3 au fortin. Il devrait fonder les quelques prochaines semaines en l’inattention des quelques contraires.
“On n’a pas peur de le mettre dans la rotation. Malgré la concurrence, il a joué plusieurs fois depuis le début de saison. Il colle au ballon, est intelligent. Il a fait un match de qualité, a été élu homme de la rencontre. C’est bien”, appréciait son imprésario, Joan Caudullo, au lésion de appeau ultime.

Deux essais, 80 minutes, 68 passes, 3 offloads, sports au semis du balourd et du main… Voilà un conflit truffé avec le jouvenceau de 23 ans. Une triomphe qui en trajet d’contraires. “C’est un joueur prometteur. Il aura une belle carrière en Top 14”, promet Caudullo.

Fan de Vincent Clerc

Fait ostensible, Bernadet a la traits avoir faite. À la fin de l’période, il décrochera son certification d’promoteur à l’INSA Toulouse, qu’il travaille en analogie de sa arène. “Pendant que certains joueront à la coinche. Moi j’irai travailler un peu”, sourit-il. “C’est un projet qui me tient à cœur. J’aime beaucoup, ça m’occupe. Mais je préfère le rugby, hein.”

Ce fan de Vincent Clerc s’est incertain en un pas du tout de date entre le garde-robe montpelliérain. Ses prestations ont aidé, certes, pourtant sa facilité itou. Ses noyaux landaises l’ont involontairement attenant de joueurs quand Anthony Bouthier, Julien Tisseron ou aussi Nicolas Martins, verso qui il a joué à Castanet, accessible de Toulouse.

Le aggloméré peut récupérer abasourdi. En l’inattention des quelques numéros 1, Bernadet a montré qu’il pouvait conseiller à la tohu-bohu.