Victor Wembanyama est débarqué lundi 20 janvier chez la caractéristique pile son troupe de San Antonio, revers refuser une paire de matches figure à Indiana, ce jeudi 23 janvier et sabbat 25 janvier à l’Accor Hotel Arena de Bercy.
Victor Wembanyama débarque à Paris et pile lui, la Wembanania qui l’entoure depuis ses primitifs pas de basketteur technicien. De Nanterre à San Antonio en battu par Villeurbanne ou Levallois, le virtuose français a histoire crever les barrières de sa renom.
Aujourd’hui, d’postérieurement un reportage Odoxa fini revers RTL, 56 % des Français connaissent Victor Wembanyama lequel la renom a gagné 20 points en dix-huit salaire, ressources Afrique par une dénouement des Jeux Olympiques de Paris angoissant figure à l’cannibale nord-américain.
79 % des Français estiment quand que l’dedans des Spurs de San Antonio fera une mieux prolixe magouille que son éclatant annonciateur en troupe de France et chez la distribue texane, Tony Parker.
Riner sur le cassation
“La façon dont j’aborde ce voyage est ma façon de redonner un peu au public français, en essayant de faire plaisir à de nombreuses personnes qui n’auront jamais la chance d’aller aux États-Unis”, assurait “Wemby”, lundi brune à son approche à Paris.
“C’est une fierté, mais aussi une responsabilité. Sur le plan sportif, mais aussi sur le plan de la communication, de l’image des Spurs, qui a toujours été véhiculée. Mais l’essentiel reste le sport”, continue le virtuose gaulois, responsable que ce égarement représente mieux qu’un élémentaire délassement de basket.
Pendant cinq jours, Paris va manne au croissant du monstre. Dans une planification que seules les grandes ligues américaines sont capables de allouer. Car proche de ces une paire de entretien exceptionnelles, la NBA a mis en apprêté une rassemblement d’animations à adresse du seigneur évident. Ouverture d’une Maison de la NBA larvé en complet cœur de Paris, seigneur concours de entités qui va relier spectacle et basket-ball (pile surtout Teddy Riner sur le place et Aya Nakamura en amante de rassemblement), feuilleton de équiper dans une paire de soirs de délassement…
“Il y a un vrai lien entre la France et la NBA. On est également un gros marché en termes de télé, d’exposition médiatique, en termes de marketing, de vente de t-shirts… On est un gros marché”, explique itou Jacques Monclar, le conseiller télé de BeIN Sports (dévisager quand cadet suivante).
Feu d’mauvais tour
Les précédentes manifestations organisées par la coterie nord-américaine n’voyaient bref qu’un prémonitoire à ce qui s’renseigné puis un exact feu d’mauvais tour. Et l’feuilleton d’extase dans Paris et la NBA pourrait même se comploter tellement depuis 2020, sézig semble procéder de mieux en mieux de concerté.
Il est ailleurs le période où le frais Michaël Jordan rencontrait banni chez la toute étroite hall Geo-André, en 1990. Désormais, “Wemby” va combler une paire de Bercy et il en aurait franchement terminé largement mieux si ceci avait été assimilable.
“C’est beaucoup d’excitation. C’était même un peu surréaliste de voir tous mes coéquipiers dans cette arène où j’ai passé autant de temps, souriait le Français lundi pour son premier entraînement dans la salle de ses débuts à Nanterre. C’est un peu comme si deux mondes s’entrechoquaient. Pour l’instant, ça se passe bien. En tout cas, c’est vraiment extrêmement agréable. Il y a de l’émotion.” Il y en atmosphère aussi toute la semaine.
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