À la nouveauté du coupé assesseur des Crocos (16es), Franco-croate né à Dijon, précocement la asile des Bourguignons (6es), vendredi 14 ventôse à 19 h 30 comme le note de la 25e naissance de National.
Le Franco-croate
Stjepan Cvitkovic, que globalité le monde billet “Vitko” à la Bastide, est né en 1982 à Dijon de quelques parents yougoslaves d’départ croate. Qui se sont rencontrés… en Bourgogne. Son géniteur y rencontrait commencé gonfler pour le monument.
S’il n’a réel qu’en France, il a été marqué pour les années 1990 par la campagne en ex Yougoslavie, où les Cvitkovic passaient à elles ponts d’été, quoique le duel mortel : “Mon père apportait des médicaments au pays. On est de Sinj, près de Split. C’était particulier : quand on entendait la sirène, il fallait se mettre à l’abri, il y avait des bombardements… notre maison là-bas a été brûlée, mon cheval a été tué. J’étais enfant mais je n’ai pas été traumatisé, parce que l’on passait de très bons moments avec la famille”. Stjepan possède la indécis citoyenneté franco-croate.
Le bras
“Vitko” a débarqué le foot au Cercle Dijon, après a continué au DFCO ultérieurement la alliage comme l’hétérogène dancing fanal de la coin. “J’avais 20 ans, je jouais en réserve, j’étais en fac d’anglais, je ne pensais pas faire carrière. Il y a eu des blessures en équipe première, et je me suis retrouvé libéro titulaire derrière deux stoppeurs, en National. J’ai fait un an avec Rudi Garcia, puis je suis parti à Mulhouse (N2) par manque de considération : j’avais joué régulièrement et on ne me proposait pas de vrai contrat. Je n’avais pas de grosses qualités, mais j’avais le mental, je bossais, je tombais, j’y retournais…” Et un délicieux forme (1,90 m, 80 kg).
L’barbare orthogonal passera après par Beauvais (N2 et National), le Red Star Waasland (D2 belge), Pacy-sur-Eure (N et N2), Pau (N2) et Dunkerque (N2 et N). Si ailleurs, si affin du monde pro. “Bernard Casoni, alors à Bastia, m’avait contacté pour être 3e défenseur central en Ligue 2. Mais je n’avais pas d’agent, et ça ne s’était pas fait”, se souvient Cvitkovic. Sans justifie.

L’responsable
2017, dernière période comme Dunkerque en National. “J’avais 35 ans, j’ai fini le championnat sans jouer mais en observant beaucoup, très proche du staff. Le club me proposait une reconversion comme recruteur si on montait. On n’est pas passé loin. Je me suis retrouvé adjoint de la réserve en N3, puis coach des U18. On est monté en U19 nationaux. Entraîner n’était pas une vocation, c’est venu peu à peu. Je ne suis pas non plus un formateur dans l’âme. Je voulais intégrer un staff pro. L’été dernier, Seb Larcier (directeur sportif de NO), que je connaissais de Dijon, m’a appelé, j’étais en Croatie, j’ai dit oui. J’ai renoncé à mon CDI à Dunkerque, où j’étais depuis 12 ans, pour un CDD de 2 ans à Nîmes.”
Et comme coopérer un ingénieur (Adil Hermach) qu’il ne connaissait pas. “Ça a matché de suite. On a des points communs, on a été joueurs tous les deux, formateurs, on est binationaux ; et on est complémentaire. Lui est calme, porté sur le jeu et l’attaque ; moi plus sur la défense, démonstratif. Sang froid, et sang chaud ! Il cadre mais laisse beaucoup de liberté dans le travail. Avec ce staff, on prend plaisir à se voir tous les jours.”
Le Nîmois
Ça a matché imprégné abats du stuc. Mais ça ne matche pas au phase des résultats… ensuite, coupé ? “Il y a tout pour réussir. Les joueurs ont de la qualité, ils bossent, et bien. Mais le foot, ça se joue souvent à rien, regardez PSG-Liverpool. Un poteau, un hors-jeu, un penalty… Beaucoup de choses ont tourné en notre défaveur. À un moment, tu deviens parano, tu penses qu’on t’en veut. Après, on manque de buteurs derrière Ous (Abdeldjelil), d’agressivité dans la surface adverse. D’un peu de vice aussi, on est une équipe gentille. On est rarement dominé. On reste sur notre meilleure série en championnat (7 points en 4 journées), on ne lâche pas. Il y a eu une prise de conscience, il y a aussi plus de stabilité dans l’équipe de départ, et les remplaçants t’apportent plus.”
“Contre Dijon, il faut continuer sur notre dynamique. Paris Atletico est exempt, si on gagne, on sort de la zone rouge. On espère que notre public nous aidera à nous dépasser. Je ne connais plus grand monde au DFCO, mais ce sera particulier pour moi. Samedi, c’est mon anniversaire (43 ans). Je vais le fêter avec mes filles… et avec une victoire, ce serait mieux !”
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