En Suisse, les trains roulent puis poussivement à l’couchant du race

LETTRE DE GENÈVE

Un train des Chemins de fer fédéraux (CFF) suisses, à Genève, le 6 octobre 2023.

« Avec un peu d’persiflage, je devrais m’en agréer. Le montant des allers ne cesse d’pousser, néanmoins on est récompensé en grossier, attendu qu’on tuyau de puis en puis de moment dans lequel le colis moyennant le même course ! » Le mention blagueur de cet client de la défilé Lausanne-Genève abrité mal l’déception qui jubile les 70 000 voyageurs bulletins du bouchée. Depuis le extrême pagaille annal des horaires territoriaux, le 15 décembre 2024, le puis orgueilleux en vingt ans, les Chemins de fer fédéraux (CFF) ont aussi diminué le économe des trains sur l’arc lémanique, un des arbres les puis chargés du race.

En 2001, les convois les puis rapides parcouraient les 60,3 kilomètres qui séparent les paire grandes villes romandes en trente et une minutes, à la norme de 117 km/h. Vingt-trois ans puis tard, le même parabole austère au valeur-limite trente-neuf minutes et s’effectue à 93 km/h, un frappe du moment de 26 %. Jamais les trains n’ont circulé quant à poussivement en Suisse romande depuis des décennies. Selon le gîte audiovisuel évident romand RTS, qui empoigne invariablement ce chapitre humiliant, et a écho les pierre, « un pendulaire perd tel quel, quelque semaine, une plombe vingt de puis dans lequel le colis sur cette défilé qu’en 2001. »

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